La fatigue, la surcharge de travail et les départs s’accumulent à l’École de la Banque et du Réseau.
La direction semble en être consciente, mais reste impuissante… FO alerte sur les nombreux sujets brulants du moment et attend de la Direction de vraie réponse !
Depuis 2001, AVEA La Poste offre aux enfants âgés de 4 à 17 ans des séjours en France et à l’étranger lors de toutes les vacances scolaires. Partenaire exclusif de La Poste, l’AVEA fait vivre des vacances de rêve chaque année plus de 9 000 enfants autour de thématiques variées (séjours culturels, sportifs, linguistiques, animaliers, itinérants…).
À la mer, à la montagne, à la campagne, chaque séjour est fondé sur un projet éducatif fort, visant à permettre le développement de l’enfant.
Quelques exemples de séjours :
Tous à l’eau, à Narbonne-Plage (Occitanie) : Séjours ouverts aux 4/7 ans, 11 jours (tout inclus) dès 166€. Le plus du séjour : immersion dans l’univers marin. Pour en savoir plus : https://bit.ly/3MU0W55
Embarquement immédiat, à Chamarande (Île-de-France): Séjours ouverts aux 8/14 ans, 11 jours (tout inclus) dès 220€. Le plus du séjour : chacun prend place à bord de l’avion pour un vol d’initiation de 30 minutes. Pour en savoir plus : https://bit.ly/3EToiVz
Terres des dieux et des mythes, Grèce (Europe). Séjours ouverts aux 15/17 ans, 20 jours (tout inclus) dès 567€. Le plus du séjour : découverte de Santorin, Paros et Naxos, îles incontournables des Cyclades. Pour en savoir plus : https://bit.ly/37Jh6iN
Et encore plus de séjours estivaux à découvrir sur le site www.avea-vacances.fr . Cet été, offrez à votre enfant une parenthèse enchantée.
Le saviez-vous ?
Grâce à une participation de La Poste, vous pouvez bénéficier en tant que postiers, de tarifs attractifs toute l’année(jusqu’à 85% du coût du séjour de votre enfant). Profitez également, d’une remise fratries à hauteur de -5% dès l’inscription de 2 à 3 enfants et de -10% dès l’inscription du 4ème enfant.
Sous l’impulsion notamment de FO, la direction de La Poste a finalement accepté de payer en heures supplémentaires la surcharge de travail liée à la distribution de la propagande électorale. Une juste reconnaissance du savoir-faire des postiers, dont les conditions de travail se dégradent continuellement.
Ils avaient plus de 48 millions d’enveloppes à livrer en quelques jours avant l’élection présidentielle : tous les cinq ans, la distribution des plis électoraux constitueune surcharge de travail, énorme, une charge physique et mentale, expose Anne-Laure Soulet, de l’équipe courrier de la fédération FO-COM. Il faut visiter toutes les boîtes aux lettres dans un temps très court.Un contrat particulièrement lucratif pour La Poste : 83 millions d’euros cette année pour la livraison de la propagande électorale.
Pour autant, malgré les efforts demandés aux agents afin d’assurer cette mission aussi cruciale que rentable, et ce en plus de la distribution habituelle du courrier qu’ils continuent d’assurer, la direction de La Poste n’entendait pas faire d’effort en faveur de son personnel.Elle nous a dit qu’on pouvait le faire sur nos heures habituelles de travail,témoigne Anne-Laure Soulet, mais sur ces quelques jours, certains débordent de trois ou quatre heures supplémentaires.
Des heures supplémentaires reconnues
FO a alors demandé la majoration à 100% de ces heures supplémentaires pour le second tour de la présidentielle, ainsi que desmoments de convivialitépour les salariés impliqués : sandwichs offerts, plateaux-repas… Si la direction de La Poste a accédé à cette dernière demande, elle a refusé de majorer les heures supplémentaires, les reconnaissant toutefois et les payant en tant que telles. Les personnes sollicitées sur leur jour de repos pour venir prêter main forte ont également obtenu une indemnité quotidienne de 15 euros.
Des préavis de grève avaient été posés au niveau local, puis levés lorsque les travailleurs ont obtenu gain de cause après négociation.Les postiers étaient mécontents du peu de rétribution accordée par La Poste. On demandait beaucoup plus, mais au moins La Poste a compensé la charge de travail supplémentaire, souligne Anne-Laure Soulet.
Le fiasco de l’ouverture à la concurrence
Cette année, l’enjeu était d’autant plus important que La Poste venait de récupérer son monopole historique sur cette mission, hautement symbolique. En vue des élections régionales et départementales de 2021, l’État avait en effet décidé d’ouvrir à la concurrence le marché de la livraison de la propagande électorale. Si La Poste avait alors consenti à un effort sur ses tarifs, l’entreprise privée Adrexo, spécialisée dans la distribution de publicité, avait pour sa part cassé les prix, se voyant ainsi attribuer une partie de la mission par l’État.Les postiers l’ont un peu mal vécu !, confie Anne-Laure Soulet.
Mais au printemps 2021, en pleine période électorale, le fiasco devient évident : de nombreuses boîtes aux lettres sont vides, des plis sont retrouvés brûlés et abandonnés.La qualité de service proposée par Adrexo était mauvaise parce que leurs livreurs ne connaissaient pas la tournée,analyse Anne-Laure Soulet. Il n’y a parfois pas de nom sur les boîtes aux lettres, mais les postiers, eux, connaissent bien leurs clients.Selon une évaluation conjointe d’Adrexo et de La Poste, 26,6 % des électeurs n’ont reçu aucune propagande pour les élections départementales, et 40,3 % pour le premier tour des régionales.
Des conditions de travail fortement dégradées
Face à cette déconfiture dans la logistique, à la mi-août 2021, l’État a donc résilié le contrat qui le liait à Adrexo, qui devait à l’origine courir jusqu’en 2024. Malgré le mécontentement lié à la faible rétribution de leurs efforts par leur hiérarchie,les postiers sont fiers que le trafic revienne à La Poste, affirme Anne-Laure Soulet : une juste reconnaissance de leur savoir-faire.
Pour les salariés, ce moment où les performances de La Poste sont davantage scrutées que d’habitude est évidemment stratégique pour négocier.C’est le moment de demander mieux pour les facteurs,estime la militante, en remerciement de leur participation à la vie du territoire.Car leurs conditions de travail continuent dans le même temps de se dégrader, avec des arrêts maladie de plus en plus nombreux. Pour compenser les suppressions d’emplois,La Poste compte désormais 14 000 intérimaires, dont 70% au service courrier, s’alarme Anne-Laure Soulet. Ça prend une ampleur phénoménale.La militante craintun virage à 180°d’ici la fin de l’année sur le plan de l’organisation du travail.
Les notifications des parts variables et des revalorisations salariales annuelles viennent d’être remises aux cadres. Dans ce contexte, vos appels et vos interrogations nous confirment que la question du pouvoir d’achat restent au centre des préoccupations de tout l’encadrement.
Les prix continuent en effet à d’augmenter et, au mois d’avril, l’inflation a, selon l’INSEE, atteint 4,8 % sur un an. Toujours selon l’INSEE, ce niveau est historique en France depuis près de 37 ans.
Alors que de nombreuses mesures concentrées logiquement sur les plus vulnérables visent à amortir ce choc économique, la question du pouvoir d’achat des cadres devient, elle aussi, majeure. Contrairement aux idées reçues, tous les cadres n’ont pas de gros salaires, loin s’en faut. Tous ont des charges fixes, des prêts à rembourser, des coûts de transports à payer, des fins de mois à boucler … Personne n’est donc épargné, même les cadres seniors qui doivent aussi très souvent financer les études de leurs enfants, voire la dépendance de leurs parents.
FO s’inquiète du choix de La Poste de mettre en œuvre une répartition des revalorisations de plus en plus « individualisée », parfois à l’excès : derrière cet élément de langage se cache en réalité la volonté d’une répartition des revalorisations plus discriminantes : plus d’augmentation pour un petit nombre pour moins d’augmentation pour les autres… Ces consignes « d’arbitrage discriminant » sont désormais connues de tous, mais ne sont pas réellement assumées par La Poste qui n’en parle pas dans l’accord NAO 2022.
FO alerte sur les conséquences de cette orientation qui, sans le dire, pénalise structurellement les cadres séniors et multiplie les situations de cadres performants se voyant attribuer des revalorisations inférieures à l’inflation.
Dans l’accord 2022 sur les Négociations Annuelles Obligatoires, il est prévu dans l’article 13, une « clause de revoyure » : « en cas d’évolutions majeures, une commission de suivi spécifique sera réunie à la demande d’une partie signataire à compter du second semestre 2022. ». Forts de cette revendication portée par FO, nous avons exigé une commission de suivi exceptionnelle et la transparence sur la réalité des revalorisations mises en œuvre en 2022 en intégrant des critères tels que le sexe, l’âge, les métiers, le temps partiel, le télétravail et l’appréciation.
Les représentants FO porteront, lors des prochaines rencontres avec La Poste, la question du pouvoir d’achat des cadres.
FO Com signe le nouvel accord social « Des engagements réciproques au service du client dans les bureaux de poste ». Cet accord apporte des avancées concrètes et des garanties.
Pour faire face à l’augmentation du coût de la vie dans de nombreux domaines, le gouvernement a mis en place, fin 2021, une prime inflation. Mais comme toute bonne mesure d’Etat qui se respecte, il faut parfois en faire soi-même la demande.
En cette période très compliquée, chaque euro est bienvenu ! Ne passez-pas à côté.
FO Com œuvre en permanence et dans l’intérêt des postiers pour que leur pouvoir d’achat s’améliore. Les primes n’étant qu’un pansement, nous continuons à nous battre pour de meilleurs salaires et un 13ème mois pour tous les postiers.
Les irritants et problèmes s’accumulent à la DSEM. La direction, qui multiplie les maladresses, se montrant agressive, ne semble pas prendre la mesure des conséquences d’une telle attitude. Elle laisse les agents s’enfoncer inexorablement dans le mal être…
Mais ici ce n’est pas un jeu. Des postières et des postiers sont en réelle difficulté, avec une dégradation sans précédent des conditions de travail, des sanctions lourdes, des conséquences désastreuses sur leur vie personnelle et sur leur santé.
La Poste annonçait le 21 avril dernier de nouvelles fonctionnalités dans la gestion des plannings des Responsables d’Exploitation (RE) du Réseau. De nouvelles fonctionnalités permettront de proposer aux RE des scénarii de planning « clé en main » qu’il leur appartiendra de modifier ou de valider. Les RE resteront cependant décisionnels et pourront paramétrer l’application en fonction des nécessités de service et des particularités de leur terrain.
L’objectif mis en avant est la simplification de la planification des ressources considérées comme particulièrement chronophages.
Pour autant, le développement des premiers modèles d’Intelligence Artificielle entraîne de nombreuses transformations dont nous devrons bien mesurer toutes les conséquences.
FO est favorable aux innovations dès lors qu’elles apportent, dans la transparence, une plus-value pour tous ses salariés. L’IA ne doit en aucun cas être un vecteur de la dégradation de nos conditions de travail. Dans cet esprit, un développement anarchique et non concerté des nouveaux outils utilisant l’IA serait contre-productif.
À ce jour, nous regrettons que de nombreux outils ne sont toujours pas considérés et traités comme des réorganisations, qu’ils portent ou pas des gains de productivité. Ils échappent ainsi trop souvent aux instances du dialogue social, à toute concertation.
Toutes les nouvelles fonctionnalités POP destinées aux RE ou même les indicateurs de pilotage générés par l’outil n’ont pas été présentés en détail par La Poste.
À titre d’exemple, si nous n’y prenons pas garde, ces nouveaux outils pourraient se transformer, à terme, en instruments de surveillance de tout l’encadrement sans que celui-ci n’en soit informé.
Notre propos n’est certainement pas de « crier au loup » mais de nous assurer d’une véritable concertation qui permettra de sécuriser pour tous les conditions de déploiement de l’IA. Ces nouveaux outils sont et seront pourtant au centre de la transformation de tous les métiers.
Pour FO, leur apparition, leur industrialisation ou leurs évolutions ne doivent en aucun cas se faire dans la clandestinité et la défiance. Sans angélisme, il est aujourd’hui essentiel d’intégrer toutes les facettes de l’IA dans la conduite du changement et du dialogue social.
Pour FO, il est urgent, de s’appuyer sur un accord de méthode pour le déploiement de l’IA au sein de notre groupe.
C’est l’usure progressive de la motivation du collaborateur qui se sent de plus en plus étranger à une culture d’entreprise et se désengage jusqu’au départ volontaire.
La liste est longue à Philaposte, nous le constatons tous ! Chaque semaine les conversations tournent autour du prochain qui quittera le « navire »…
Le CESU Préfinancé par le COGAS vous permet de réduire significativement le prix des prestations ! C’est un titre de paiement nominatif qui permet de régler des services à la personne à domicile ou hors domicile (garde d’enfants).
Les activités payables par CESU auprès des organismes agréés ou dans le cadre d’un emploi direct sont les suivantes :
Services à la famille : garde d’enfants, crèche, halte-garderie, jardin d’enfants, assistante maternelle, garderie périscolaire, soutien scolaire et cours à domicile…
Services de la vie quotidienne : entretien de la maison, travaux ménagers, petits travaux de jardinage et de bricolage, assistance informatique et Internet à domicile…
CESU « Handicap» : Assistance aux personnes âgées handicapées ou dépendantes, aide à la mobilité et transport des personnes en difficulté de déplacement…
Notez bien : Le COGAS a fait le choix de revaloriser l’aide financière depuis le 1er Janvier 2022, rendant le CESU toujours plus intéressant :
Tranches QF
T1
T2
T3
T4
T5
T6
T7
T8
T9
T10
Participation du COGAS depuis le 01/01/2022 pour un Chèque de 15 €
13€
12€
11€
10€
9€
8€
7€
6,5€
6€
5€
Pour tout savoir sur le CESU rendez-vous sur Portail Malin : Info CESU