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FOcom Poste 06

InFO : Et si nous réduisions la fréquence de distribution ? L’exemple de la Norvège

30 Juin 2023, 15:59pm

Publié par FOcom Poste 06

En Norvège, le gouvernement compense le prestataire du service universel, Posten Norge, pour le coût net de l’OSU. Étant donné que la baisse des volumes de courrier continuera à faire peser une charge financière sur Posten Norge, le niveau de compensation du gouvernement devrait augmenter avec le temps. Cela a conduit le gouvernement norvégien à évaluer quel devrait être le niveau de service approprié de l’OSU (Obligations de Service Universel).

En 2016, l’obligation de distribution le samedi a été supprimée, réduisant de fait l’obligation de fréquence de distribution de six jours par semaine à cinq jours par semaine. Posten Norge a utilisé cette liberté accrue et a cessé de distribuer le courrier le samedi. Malgré la réduction de la charge de l’OSU qui en a résulté (et donc des dépenses publiques pour l’achat de services postaux non viables sur le plan financier), des réductions supplémentaires de la fréquence de distribution ont été envisagées en 2017 et 2018.

En 2017, le ministère norvégien des transports et des communications s’est inquiété du fait que l’augmentation de la compensation pour le service postal pourrait ne pas être l’utilisation la plus efficace des fonds publics. Il a déclaré qu’en raison du niveau de numérisation de la société, la nécessité d’envoyer des lettres avait été considérablement réduite. En conséquence, ils ont suggéré que les fonds publics pourraient potentiellement être alloués plus efficacement à d’autres services, tels que les soins de santé ou l’éducation. Dans le but d’assurer une meilleure viabilité financière de l’OSU et une utilisation plus efficace des dépenses publiques, des recherches ont été menées pour évaluer quel serait le champ d’application approprié de l’OSU, offrant un compromis entre un niveau de service élevé et des dépenses publiques moindres.

Comme la fréquence de livraison représentait 70 % du coût net de l’OSU en 2018, plusieurs modèles de livraison ont été envisagés dans ce processus, y compris des modèles permettant des fréquences de livraison différentes dans les zones urbaines et rurales. Cette différenciation visait à tenir compte des coûts de livraison plus élevés dans les zones rurales.

En 2019, le parlement norvégien a accepté une proposition du ministère visant à réduire la fréquence de livraison de 5 jours par semaine à 2,5 jours par semaine (c’est-à-dire en alternant la livraison deux jours par semaine et la livraison trois jours par semaine sur un cycle de deux semaines). Ce changement est entré en vigueur en juillet 2020. La distribution quotidienne des journaux dans les zones rurales (sans distribution alternative de journaux) a été assurée après une procédure d’appel d’offres public. Pour compenser la baisse de la fréquence de distribution, les destinataires peuvent toujours faire distribuer leur courrier dans des boîtes postales (bien qu’aucune augmentation significative de la demande n’ait été enregistrée), et les colis sont distribués dans des points de service cinq jours par semaine. En outre, les petits paquets (c’est-à-dire les « lettres » contenant des marchandises achetées en ligne) sont distribués par Posten Norge tous les jours dans les zones urbaines (qui représentent 50 % des foyers) sur une base commerciale.)

Posten indique que l’impact réel sur les expéditeurs a été très modéré, car la fréquence de délivrance standard est passée de J+1 à J+2 dès 2018, avant l’introduction de la livraison alternée. Dans ce contexte, l’introduction de la livraison alternée a seulement signifié que 50 % des volumes de courrier seraient distribués dans les trois jours au lieu de deux jours. De même, Posten n’a pas connu d’impact sur ses volumes de courrier suite au changement de fréquence de livraison, c’est-à-dire qu’il n’a pas déclenché d’e-substitution supplémentaire.

L’impact financier des modifications de l’OSU a été substantiel. En 2019, le coût net de l’OSU lié à la livraison cinq jours par semaine était de 620 millions de couronnes norvégiennes (environ 63 millions d’euros). En 2020, ce coût net a disparu après que la transition a eu lieu en juillet. Cependant, le service commercialement défini par Posten à partir de 2022 est la distribution de lettres aux points de ramassage, ce qui fait passer le coût net de l’OSU pour la fréquence de distribution et le point de ramassage à 749 millions de NOK (environ 75 millions d’euros) et plus. Cela montre clairement que même la distribution un jour sur deux ne suffira pas à garantir la viabilité financière de l’OSU dans un pays fortement numérisé (et peu peuplé).

[source : Main developments in the postal sector 2017-2021 – Copenhagen Economics]

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Les défis de la livraison

30 Juin 2023, 15:44pm

Publié par FOcom Poste 06

Avec le boom des livraisons et l’expansion considérable du e-commerce (avec un chiffre d’affaires atteignant les 112 milliards d’euros en 2020), le dernier kilomètre devient capital. Par comparaison, le secteur postal et de la distribution a généré environ 110 milliards d’euros de recettes en 2021 (0,8 % du PIB total et +21 % par rapport à 2017) dans les États membres de l’Union Européenne-27.
La logistique du dernier kilomètre, également appelé « Last Mile Logistics », est un terme utilisé majoritairement dans la gestion de la chaîne d’approvisionnement (supply chain). Avec l’essor accéléré des ventes en ligne, le « dernier kilomètre » est au cœur des préoccupations. Il désigne tout simplement l’étape finale du processus de livraison. C’est-à-dire le moment où le colis part de l’entreprise (magasin de détail, entrepôt, usine de fabrication…) pour rejoindre sa destination finale (le lieu de réception par l’utilisateur définitif).
L’objectif du Last Mile Logistics est d’optimiser autant que possible les délais. Cependant, la livraison du dernier kilomètre apparaît pour les entreprises comme la plus coûteuse financièrement mais également sur le plan environnemental. L’acheminement de marchandises serait en réalité responsable de 25 % des émissions de gaz à effet de serre dans le milieu urbain.
Selon une étude menée par Cushman & Wakefield, intitulée « Last Link : Quantifying the Cost », le dernier kilomètre représente effectivement plus de la moitié des coûts globaux de la chaîne logistique soit jusqu’à 20 % des frais liés au transport du produit.
La crise sanitaire a confirmé l’accélération des achats en ligne. Ce serait alors 42 millions de « cyberacheteurs » qui se sont retrouvés sur Internet durant le quatrième trimestre de 2020. Le transport express (dans les 24 à 48 heures suivant la commande) s’impose également comme un service fondamental.
Les habitudes de consommation évoluent et les achats en ligne explosent. Les consommateurs sont devenus exigeants : rapidité (mis en avant par exemple par Amazon), souplesse des horaires, planification, récupération des produits sélectionnés dans un point de retrait, point relais ou magasin, y compris les dimanches et jours fériés.
Les courses en ligne gagnent également en popularité et entraînent le secteur alimentaire à développer sa logistique. La grande distribution continue son envolée digitale : + 7 % au 3e trimestre 2021 par rapport à 2020 et + 47 % par rapport à 2019.
Cette évolution s’est accompagnée d’une détérioration considérable des conditions de travail dans le secteur de la livraison du dernier kilomètre. En effet, La Poste a modifié ses organisations de travail dans le but, d’une part, de réduire les coûts, principalement constitués par les frais de personnel et, d’autre part, de devenir plus flexible et agile afin de rester compétitive, d’obtenir davantage de clients et prendre en compte l’évolution de leurs besoins.
Cette détérioration se présente différemment en Europe selon les contextes nationaux et dépend largement du cadre juridique et de la culture nationale dans le secteur de la poste et de la logistique, ainsi que des différents usages en matière de négociation collective et d’organisation du travail. Globalement, la principale tendance observée est celle de l’externalisation des coûts, des risques et du travail.
D’un point de vue syndical, la livraison du dernier kilomètre est confrontée à une course vers le bas en termes de salaires et de conditions de travail. Les contrats de travail des chauffeurs-livreurs comprend des employés directs, des sous-traitants, des indépendants et des travailleurs de plateforme qui se font concurrence. C’est pour cela que FO Com au sein de UNI Global Union contribue actuellement à une étude européenne afin d’avoir une vision plus complète et pouvoir défendre les intérêts des salariés concernés. L’enjeu est de taille puisque l’étude veut englober des entreprises aussi diverses que UPS, Amazon, DHL, Royal Mail, DPD Group, Uber Eats, Delivery Hero, Aramex, Jumia ou Just Eat…

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1 2 3 4 5 ACTUS Aides au Logement : nouveaux embauchés à La Poste, faites votre demande

30 Juin 2023, 14:27pm

Publié par FOcom Poste 06

Le logement constitue une part importante des dépenses d’un foyer. Le poids du logement représente 22,2 % du budget des ménages (contre en moyenne 18,6 % dans les pays de l’OCDE) et cette charge s’alourdit davantage selon les niveaux de vie. Les dépenses de logement pèsent ainsi près du quart du budget des ménages de nos jours, alors qu’elles n’étaient que de 9 % dans les années 1960.

En matière de lutte pour le pouvoir d’achat, le logement est donc un levier des plus décisifs.

À La Poste, les nouveaux embauchés peuvent bénéficier d’aides au logement, qu’ils soient locataires ou propriétaires. La demande doit être formulée dans les 24 mois suivant l’embauche.

Grâce à l’action de FO et à la signature de l’avenant à l’accord de juillet 2020, les montants de ces aides ont été revalorisés jusqu’à 3,41%. Les aides s’élèvent de 83 à 243€ bruts par mois, un sérieux coup de pouce pour démarrer à La Poste.

[Télécharger aides au logement – nouveaux embauchés]

 

 

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Accompagnement à l’évolution pro à la BGPN

28 Juin 2023, 09:05am

Publié par FOcom Poste 06

FO Com demande la prolongation de l’accord !

Le 8 décembre 2021, FO Com a apposé sa signature sur l’accord relatif à l’accompagnement des postiers de la BGPN dans leur évolution professionnelle.

En 2022, cet accord a permis le versement d’une indemnité différentielle du variable cible en 2022 de 1,81 million d’euros pour 457 postiers.

Afin que la question financière ne soit pas un frein dans la décision d’évolution professionnelle des postiers, nous avons à plusieurs reprises, lors des différentes instances, demandé la prolongation des mesures de cet accord. Cette demande a fait l’objet d’un courrier envoyé par FO Com à la DRH BGPN le 21 juin 2023.

 

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« La Poste se transforme » disent-ils

28 Juin 2023, 08:21am

Publié par FOcom Poste 06

Depuis l’annonce du plan stratégique lancé en 2021, La Poste, ambitieuse et volontaire, se transforme en plaçant « la qualité de service, la satisfaction clients et la proximité en tête de ses priorités ».

Est-ce que FO Com aurait une vision erronée de ces trois éléments ? Comment assurer une qualité de service sérieuse en réorganisant à tour de bras et en embauchant du personnel précaire à peine formé ? Comment se vanter d’une bonne satisfaction clients alors que les incivilités voire les agressions sont en forte hausse ? Comment parler de proximité alors que des milliers de bureaux de poste ferment ?

Chacun possède son cadre de référence et visiblement, FO Com n’a pas le même que La Poste. FO Com fera en sorte que la « transformation » ne se mue pas en déformation.

 

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CCR, les grands perdants!

26 Juin 2023, 17:40pm

Publié par FOcom Poste 06

Ne vous étonnez pas si votre DS vous propose de vous intéresser à la fonction de Chargé de Clientèle Remplaçant. Actuellement, ce genre de suggestion semble se répéter dans certains territoires.

[Lire le tract]

 

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InFO : 53% des managers en arrêt maladie en 2022 selon la 8ème édition du Baromètre de Malakoff Humanis.

24 Juin 2023, 10:23am

Publié par FOcom Poste 06

Alors que l’augmentation des arrêts maladie est un sujet de préoccupation majeur pour les pouvoirs publics comme pour les entreprises, et que l’assurance maladie pointe une augmentation des versements d’indemnités journalières de 15,2% en 2022, la 8ème édition du baromètre Absentéisme de Malakoff Humanis2 apporte un éclairage supplémentaire et indispensable au débat public :
– Une augmentation de l’absentéisme, particulièrement chez les jeunes et les managers
– Des arrêts longs pour troubles psychologiques multipliés par deux

Avec 50% des salariés arrêtés au moins une fois dans l’année, l’absentéisme maladie atteint son plus haut niveau depuis 2016. La moitié des salariés du secteur privé – toutes tailles d’entreprise confondues – a été arrêtée au moins une fois dans l’année, une proportion jamais atteinte depuis la première édition de ce baromètre en 2016.

Ainsi, l’absentéisme a progressé de 9 points par rapport à 2016 (date de la première édition) et de 12 points depuis 2021.

Dans le même temps, la part des salariés qui s’estiment en bonne santé est en baisse depuis 3 ans (68% en 2023 vs 75% en 2020).

Le baromètre révèle également une nette augmentation des arrêts multiples : 45% des salariés ayant été arrêtés au cours des 12 derniers mois ont eu au moins 2 arrêts (vs 41% en 2022 et 41% en 2021), une tendance confirmée par près de la moitié des médecins traitants.

Toutes durées confondues, la maladie ordinaire reste le premier motif des arrêts maladie. C’est également le motif qui affiche la plus forte progression cette année (28% vs 21% en 2022). Viennent ensuite le Covid (17%), les troubles psychologiques (15%) et les troubles musculosquelettiques (13%).

Les troubles psychologiques constituent le premier motif des arrêts longs (plus de 30 jours). Les arrêts longs pour trouble psychologique ont été multipliés par deux en l’espace de trois ans (32% vs 14% en 2020).

Tous motifs confondus, la durée moyenne des arrêts longs a progressé, passant de 97 jours en 2022 à 111 jours en 2023.

La forte progression de l’absentéisme maladie concerne tout particulièrement cette année les jeunes salariés.

(58%, +12 pts vs 2022) et les managers (53%, +13 pts). Viennent ensuite les femmes (55%, + 7 pts), les 50 ans et plus (41%, +7 points), les personnes avec enfants à charge (53%, + 6 pts) et les salariés du secteur de la santé et de l’action sociale (63%, + 10 pts).

Les managers concernés à double titre par l’absentéisme maladie. Les managers comptent parmi les salariés les plus arrêtés pour maladie et enregistrent la plus forte progression cette année (+13 pts). La moitié d’entre eux se dit stressée au travail (vs 38% pour les non-managers). Un stress qui peut s’expliquer par une plus grande difficulté à gérer les priorités (pour 54% des managers vs 40% pour les non-managers) ou un fort empiètement de la vie professionnelle sur la vie personnelle (55% vs 27%). Ainsi, les managers sont également plus nombreux à consulter un psychologue ou un psychiatre (13% vs 7%). L’étude souligne également des signes de désengagement plus forts chez les managers : 45% seraient prêts à prendre un arrêt maladie alors qu’ils ne sont pas malades (vs 33% pour les non-managers) et 36% déclarent ne pas être investis dans leurs tâches (vs 25%).
.
Les managers sont également en première ligne face à l’augmentation de l’absentéisme au sein de leurs équipes, tant en termes de réorganisation du travail que de prévention et d’accompagnement au retour à l’emploi. De plus, près d’un manager sur deux estime que le travail hybride et le télétravail ont rendu plus complexe leur rôle. Ils disent notamment avoir des difficultés à détecter et à gérer les situations de vulnérabilité de leurs collaborateurs ou à répartir leur charge de travail. 58% des managers seraient intéressés par des formations pour accompagner leurs collaborateurs en arrêt maladie. La moitié d’entre eux déclare être beaucoup plus vigilants pour détecter d’éventuelles fragilités, et s’adapter davantage aux attentes de leurs collaborateurs. Ils sont également plus nombreux (74% vs 64% en 2022) à prendre des dispositions pour faciliter la reprise du travail d’un salarié après un arrêt long : entretien de pré-reprise, aménagement des horaires ou du postes, évolution de leur mode de management …).

Source étude complète ici Malakoff Humanis

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L’ÉTÉ EST LA , LA CANICULE APPROCHE ...

23 Juin 2023, 18:29pm

Publié par FOcom Poste 06

En  juin, le thermomètre s’est emballé et la température a fréquemment dépassé les 30 degrés sur une grande partie du territoire. Il est toujours bon de rappeler à La Poste de prendre toutes les mesures nécessaires afin de garantir la santé physique et mentale des postières et des postiers.

Lorsque ceux-ci travaillent dans des locaux fermés et même si l’employeur n’a pas l’obligation légale d’installer un système de climatisation, il doit veiller à ce que l’air soit renouvelé et ventilé de façon à éviter les élévations exagérées de température.

Par ailleurs, pour l’agent qui travaille en extérieur ou en intérieur, La Poste a l’obligation de mettre de l’eau fraîche et potable à sa disposition notamment quand les conditions particulières le conduisent à se désaltérer fréquemment (travaux pénibles). La liste de ces fonctions se doit d’être établie par l’employeur en concertation avec le CHSCT et le médecin du travail. (Article R4225-3 du Code du travail).

La Poste doit aussi prendre toutes les mesures appropriées en lien avec les écarts de températures (prises de services anticipées par exemple).

La prise en compte des températures constitue un des éléments de la prévention primaire. La Poste a des obligations et elle se doit d’assurer la mise en place de procédures pertinentes prenant en compte l’ensemble des diverses situations.

FO COM sera vigilante sur l’application des mesures adaptées via les CHSCT et les visites des représentants syndicaux.

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Cadres à la BSCC : un trop plein à corriger d’urgence

23 Juin 2023, 08:54am

Publié par FOcom Poste 06

Trop d’injonctions contradictoires, trop de perte de sens à ne plus comprendre la stratégie que les cadres sont supposés décliner, trop de perte d’autonomie au point de se sentir seulement utile à exécuter des ordres « venus d’en haut », trop de mépris lorsqu’il s’agit des salaires ridicules poussant de nombreux postiers à partir, trop de cadres déconsidérés quel que soit leur niveau à qui l’on confie pourtant de plus en plus de missions en leur expliquant que s’ils n’y arrivent pas, c’est à cause de leur manque d’organisation.

Voilà ce que nous constatons au travers des très nombreux appels venant d’une population peu encline à se tourner vers une organisation syndicale.

Le rapport Kaspar semble être totalement piétiné. Pourtant rappelons-nous, il avait été déclenché après des évènements douloureux dans la population des cadres notamment.

Voilà pourquoi FO Com sollicite une audience auprès du Directeur de la Branche Services Courrier Colis, afin que des actions réelles et durables s’enclenchent et aboutissent. Lire le courrier envoyé à Philippe DORGE

 

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L’Indemnité de Transport pour l’utilisation d’un Véhicule Personnel (ITVP) évolue

22 Juin 2023, 10:48am

Publié par FOcom Poste 06

Compte-tenu de l’inflation, toute aide est la bienvenue. Grâce à l’accord sur la négociation annuelle des salaires, signé par FO Com, l’ITVP permet à tous de compenser un peu la hausse du tarif des carburants. Cette prime déclarative est versée mensuellement.

[Lire le tract]

 

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