À l’ADV, personne ne parle de réorganisation alors que depuis des années, nous voyons des chantiers se succéder. Lors des différents PAC qui ont tous eu lieu, la direction nous a présenté FACTURA, les nouvelles activités, l’IA, les formations, l’entraide entre agents et entre plates-formes, le changement de SI, l’ADV transverse, etc...
FO Com n’a pas signé l’avenant de l’accord d’accompagnement des personnels industriels de la Direction Technique BSCC.
Le 5 octobre, la Direction de la DT nous annonçait le lancement de négociations dédiées à l’accompagnement social des personnels industriels de la DT dans le cadre des transformations des PIC de Holtzheim (67, Strasbourg), Migné-Auxances (86, Poitiers) et Fleury Les Aubrais (45, Orléans). Par la suite est venue se greffer la fermeture de la PIC de Roye (80, Amiens).
FO Com a participé à toutes les plénières, dont la conclusive et dès le départ des négociations, FO Com a rejeté la création d’un avenant à l’accord d’accompagnement dans le cadre des fermetures de Caen et Valence. Nous avons demandé que soit réalisé un nouvel accord propre à cette nouvelle situation. Proposition que la direction n’a pas voulu entendre.
FO Com a rencontré la direction à deux reprises. Nous avons été entendus mais avons-nous été écoutés ?
Lors de la première réunion à laquelle participaient le directeur de la DSEM et la DRH, nous avons voulu nous concentrer sur 3 problématiques qui nous semblent indispensables de faire évoluer. Sur ces sujets, nos points de vue divergent et leurs rapprochements semblent être les clefs de l’avenir de la DSEM.
Un slogan très postal pour caractériser le projet de La Banque Postale pour une informatique bancaire qui se cherche encore, bref le temps de la réorganisation de la DSIBA est venu…
Dixit la direction, GEMO est un projet d’entreprise qui a vocation à définir le rôle et la responsabilité de chacun (métier et IT), avec la mise en place d’un « vrai partenariat » générant une nouvelle organisation, à plusieurs étages !
Ce projet de transformation nous tient en haleine depuis février 2023…
M. Jérôme Regnault de Prémesnil prenant les rênes de la DSEM ce mois-ci, faisons le point sur les sujets brûlants du moment ou ceux que nous n’avons pu négocier avec l’ancienne Direction.
L’usure est totale pour un grand nombre d’agents de la DSEM, qui cherchent pour beaucoup à s’en aller. Trop de choses changent sans concertation : les méthodes et l’organisation du travail, les règles et la planification des congés… Et la seule contrepartie qui tenait encore, la RAP et l’augmentation du salaire qui va avec, est elle-même tirée vers le bas de manière unilatérale par la Direction.
Après plusieurs reports déjà enregistrés, la migration de l’outil de gestion de formation vers maFormation est de nouveau retardée à février 2023 sans plus aucun report possible. Vos représentants FO, soucieux de préserver les agents se sont adressés à la Direction RH de LBP ainsi qu’au Directeur des projets de l’École de la Banque et du Réseau. FO a ainsi été reçue en bilatérale.
Après les annonces et réunions de fin d’année concernant les déménagements du site d’Ivry vers Issy Coeur de Ville et Paris Biome, la DSIBA lance enfin des négociations. Après un premier round, force est de constater, que les premières propositions ne sont pas suffisantes.
FO avait largement oeuvré pour que ces négociations aient lieu, nous avons revendiqué un accord d’accompagnement ambitieux avec des compensations (financières, matérielles…) et des mesures permettant d’amoindrir les effets du déménagement (télétravail, tiers lieu, parking, aides au logement…). Et FO l’a fait savoir avec son précédent tract DSIBYE BYE IVRY !
Les irritants et problèmes s’accumulent à la DSEM. La direction, qui multiplie les maladresses, se montrant agressive, ne semble pas prendre la mesure des conséquences d’une telle attitude. Elle laisse les agents s’enfoncer inexorablement dans le mal être…
Mais ici ce n’est pas un jeu. Des postières et des postiers sont en réelle difficulté, avec une dégradation sans précédent des conditions de travail, des sanctions lourdes, des conséquences désastreuses sur leur vie personnelle et sur leur santé.
C’est l’usure progressive de la motivation du collaborateur qui se sent de plus en plus étranger à une culture d’entreprise et se désengage jusqu’au départ volontaire.
La liste est longue à Philaposte, nous le constatons tous ! Chaque semaine les conversations tournent autour du prochain qui quittera le « navire »…