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FOcom Poste 06

ENCORE FONCTIONNAIRES !!

24 Février 2012, 19:33pm

Publié par FOcom Poste 06

Mauvaise surprise en recevant le bulletin de paie du mois de janvier 2012, toute référence à notre statut de fonctionnaire a été gommée.

Explication - Dans le cartouche en bas du bulletin de paie il était écrit :

 

Catégorie SS : FONCTIONNAIRE

Assiette SS totale : ....en euros

Plafond : …. en euros

 

Ces trois mentions ont disparu sur le bulletin de paie de janvier 2012 !

Comme les postiers concernés (les quelques 143000 fonctionnaires d’Etat travaillant à La Poste) FO Com s’inquiète de cette disparition.

- Problème d'impression?!

- Eradication de la notion de fonctionnaire au sein de La Poste qui doit-on encore le rappeler est une SA depuis 2010!

- Mis devant le fait accompli les postiers fonctionnaires s'interrogent (?!)...

 

A La Poste de nous apporter des réponses !!!!

 

 

 

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Social: Chèque vacances - avec FOCOM des avancées pour 2012!

24 Février 2012, 08:54am

Publié par FOcom Poste 06

Pour imprimer ou agrandir le tract, cliquez sur l'image

cheque_vacances_2012.jpg

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INFO: Le PDG de La Poste est le plus réformateur des patrons d'entreprises publiques

24 Février 2012, 08:45am

Publié par FOcom Poste 06

EXCLUSIF Selon une étude confidentielle de VcomV sur le secteur public, Jean-Paul Bailly est celui qui réforme le mieux. Il est suivi de Guillaume Pépy (SNCF) et d’Augustin de Romanet (Caisse des dépôts).

3140823.jpg 

Le conseil d'administration de La Poste a renouvelé, en mars 2010, le mandat de PDG de Jean-Paul Bailly. Selon VcomV, ce dernier est perçu par la presse comme le dirigeant le plus réformateur du secteur public. (c) Afp

Selon une étude qualitative confidentielle menée par le cabinet VcomV auprès de 170 journalistes, Jean-Paul Bailly, le PDG de La Poste, est jugé par la presse comme le patron du secteur public le plus "réformateur".

L’étude - un document de 600 pages baptisé "VcomV Sphère publique 2012" - porte sur 33 entreprises et institutions publiques. On retrouve sur le podium cette année, outre le patron de La Poste, celui de la SNCF (Guillaume Pépy) et celui de la Caisse des dépôts et consignations (Augustin de Romanet).

L’an dernier c’est Louis Gallois (EADS) qui arrivait en tête de ce palmarès, suivi de Patrick de Carolis (France Télévisions) et Guillaume Pépy (SNCF). Né à Hénin-Beaumont en 1946, Jean-Paul Bailly dirige le groupe La Poste depuis 2002.

Par Pierre-Henri de Menthon

Source : http://www.challenges.fr/entreprise/Créé le 23-02-2012

Ps : Sans rire! Le plus réformateur ! ... Un palmarès calculé à partir de la désespérance des personnels ? Du nombre de suicides ?! Permettre à l’entreprise de devenir plus performante dans la recherche du profit, certainement !  Mais que sont devenues la cohésion et l’équité sociale au sein de La Poste ?! Quid de la recherche de points de convergence entre les intérêts de l’entreprise et ceux des postiers ?!

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Lu pour vous : Le PDG d'Adrexo (1) condamné par le tribunal de Pau

23 Février 2012, 08:38am

Publié par FOcom Poste 06

Il s'agit d'une première en France. Frédéric Pons écope de 30 000 euros d'amende pour travail dissimulé en appel.

On ne compte plus les procédures judiciaires engagées contre Adrexo, un mastodonte de la distribution de prospectus dans les boîtes aux lettres (2), où la précarité semble l'une des choses les mieux partagées parmi ses salariés. Beaucoup sont des personnes âgées qui arrondissent des fins de mois difficiles grâce au cumul emploi-retraite. Des petites mains usées qui se rebiffent, saisissant la justice un peu partout en France depuis plusieurs années pour que leur soient payées les heures de travail qu'elles effectuent. Un point sur lequel elles viennent d'obtenir gain de cause pour la première fois au pénal. En effet, par un arrêt rendu jeudi dernier, la cour d'appel de Pau a condamné le PDG d'Adrexo, Frédéric Pons, à 30 000 euros d'amende pour travail dissimulé, infirmant ainsi un jugement de relaxe du tribunal correctionnel de Mont-de-Marsan du 15 mars dernier.

Cadences intenables


Au cœur de cette affaire, les conditions de travail des distributeurs de prospectus. Soumis à un régime dérogatoire dit de « pré quantification du temps de travail », ils se voient fixer une « feuille de route » qui détermine par avance leur temps de travail et dont découle leur rémunération. Problème, entre ce document et la réalité, il y a souvent un monde et des cadences intenables. Ce qu'a mis en évidence une enquête fouillée de l'inspection du travail des Landes, saisie en 2006 par des distributeurs montois. Pendant plus d'un mois, trois fonctionnaires ont suivi des employés sur leur tournée. Leurs conclusions sont sans appel : le temps de travail effectué dépassait largement - parfois du simple au double - les heures précomptées et effectivement payées.

Pour sa défense, le PDG d'Adrexo s'appuyait sur la convention collective nationale de la distribution directe, laquelle a vu le jour en 2004 et a créé le pré quantification des heures de travail, dispositif gravé dans le marbre par un décret ministériel en 2007, mais qui fait actuellement l’objet d’un recours devant le Conseil d’ État. Un argument battu en brèche par les magistrats palois pour qui la convention collective n'est pas respectée. « Aucun correctif n'est apporté à de réelles et notables distorsions entre les horaires préalablement (et conventionnellement) établis et ceux réellement effectués, ni le lissage des rémunérations, facultatif, et que ne pratique pas l'entreprise, ni la modulation, pourtant stipulée comme obligatoire et annuelle ne sont établis par le prévenu. »

L'infraction constituée

Et la cour d'enfoncer le clou en s'opposant vigoureusement à l'analyse du tribunal correctionnel montois, pour qui l'infraction n'était pas constituée du fait de l'absence d'élément intentionnel. « Il apparaît tout à fait établi », écrit-elle au contraire dans son arrêt. Lequel fustige « la généralisation d'une pratique irrégulière, en dépit de multiples réclamations, de très nombreux contentieux prud'homaux ou pénaux, et en l'espèce la résistance aux avertissements de l'inspection du travail, de la part du prévenu et de son entreprise, arc-boutés sur les dispositions d'une convention collective scrupuleusement appliquées lorsqu'à leur avantage mais négligées quant aux contreparties utiles aux salariés. »

D'autres recours en justice

Les magistrats palois ont alloué 800 euros aux huit distributeurs landais qui s'étaient constitué partie civile au titre de leur préjudice moral. Ces derniers devraient très prochainement saisir les prud'hommes afin de se faire payer leurs rappels de salaire.

Et leur victoire au pénal pourrait faire des émules, notamment en Béarn, où les distributeurs du centre de Lons ne désarment pas malgré une récente déconvenue judiciaire. Eux ont gagné aux prud'hommes mais perdu au pénal où le dossier avait été porté par l'inspection du travail des Pyrénées-Atlantiques. « Nous n'excluons pas de porter plainte dans les prochains mois. Nous accumulons les preuves et nous comptons bien engager les poursuites nécessaires », commente Antonin Le Corno, l'avocat des Béarnais. Adrexo est loin d'en avoir fini avec la justice. L'entreprise peut toutefois encore se pourvoir en cassation.

Source : http://www.sudouest.fr/2012/02/20/le-pdg-d-adrexo-condamne-au-penal-638354-4344.php

 

(1) Adrexo est une entreprise de distribution de prospectus filiale du groupe Spir Communication

(2) 300 millions d'euros de chiffre d'affaires, un millier de cadres et 23 000 salariés distributeurs dans toute la France

 

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INFO : CSF Soissons - Un partenariat avec La Poste

22 Février 2012, 11:50am

Publié par FOcom Poste 06

La CSF (1) de Soissons a signé un partenariat avec La Poste pour assurer une présence quatre demi-journées au bureau de Presles, au moment du versement des prestations familiales.

« Nous avons répondu à un appel à projets de La Poste qui s'inscrivait dans le cadre du CUCS (2). Comme nous sommes présents sur les quartiers, cela rentrait dans nos cordes » explique Monique Vardon.

La présence des salariées de la CSF permettra aux usagers de « gagner du temps », de mieux utiliser les automates et de comprendre les divers formulaires mis à disposition par La Poste afin de les remplir convenablement.

Ce partenariat se concrétisera début mars. Dans ce cadre, la CSF organisera d'ailleurs une visite du centre de distribution de La Poste.

A note que l'association réalise déjà un travail du même type à l'épicerie sociale.

(1)  Confédération Syndicale des Familles

(2)  CUCS : Contrat urbain de cohésion sociale

Source : http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/un-partenariat-avec-la-poste Publié le 22/02/2012

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INFO du territoire: Belfort - la Poste sous le choc...

22 Février 2012, 11:37am

Publié par FOcom Poste 06

Le même bureau de Poste a enregistré, hier, son deuxième vol à main armée en sept jours. L’agence est fermée jusqu’à nouvel ordre et des CRS sont attendus en renfort.

Selon Didier Riff, le directeur de Franche-Comté de l’enseigne la Poste, la série de braquages que connaît l’entreprise depuis le début de l’année est rare au plan national. Depuis le 13 janvier, les bureaux de Belfort et Bavilliers ont connu trois braquages et deux tentatives de vol à main armée. Hier, par exemple, l’agence postale du 117 avenue Jean-Jaurès a été victime de son second vol à main armée en sept jours.

Comme le 14 février, un jeune homme vêtu d’une veste de survêtement, d’un jean noir, d’un bandana et d’un foulard, a menacé, hier matin vers 9 h 35, un guichetier avec une arme de poing, en présence de trois clients.

« Je me suis rendue compte de ce qui se passait au moment où il disait donne le pognon et les 50 aussi », explique une femme, présente dans le bureau.

L’argent, un fond de caisse d’environ 1.500 euros, a été jeté dans un sac vert puis l’individu est reparti à pied. Il est suspecté d’avoir déjà commis le vol à main armée du 14 février. À l’époque, il avait tiré un coup de feu, sans créer d’impact dans le plafond ou un des murs, laissant penser que le coup avait été tiré avec une arme d’alarme.

Reste que ce second braquage a choqué le personnel présent. Deux des trois agents vivaient leur second braquage en une semaine. Une employée, très choquée, a été hospitalisée. La cellule post-agression et le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) ont été activés. Et une psychologue, spécialisée dans les traumatismes provoqués par les vols à main armée, rencontrera à la mi-mars les agents volontaires.

De son côté, la direction régionale était consciente que le personnel pouvait faire jouer son droit de retrait. Elle a donc décidé de fermer son bureau des Vosges jusqu’à nouvel ordre. Les clients devront se rendre à Belfort Théâtre.

« Nous en profiterons pour nous pencher sur le renforcement de la sécurisation de ce bureau », souligne Didier Riff. « Nous envisageons de faire tourner le personnel qui assurera les heures d’ouvertures du bureau Jean-Jaurès. »

Hier soir, Didier Riff a assisté à une réunion en préfecture. Il a demandé le renforcement de la surveillance de ses bureaux de la Poste de l’agglomération belfortaine. Les CRS étaient attendus en soirée.

Quant à Patrick Charton, délégué CGT à la Poste, il s’étonnait que sa direction attende un deuxième braquage pour réagir.

Pascal CHEVILLOT

Source : http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/02/22/belfort-la-poste-sous-le-choc   Publié le 22/02/2012

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Aménagement du territoire : Un courrier du PDG du groupe la Poste change la donne à Cléguérec

22 Février 2012, 11:30am

Publié par FOcom Poste 06

Depuis la fin du mois de décembre, la municipalité de Cléguérec se rebiffe contre la fermeture du bureau de poste le lundi. Trois manifestations ont déjà été organisées. Une première avancée a été obtenue au début du mois avec l’annonce d'une réouverture le lundi matin, à compter du 5 mars.

Depuis, le maire, Marc Ropers, a reçu copie d’un courrier du PDG du groupe la Poste, Jean-Paul Bailly, au président de l’association des maires de France. Le PDG annonce que « le contrat de présence postale territoriale 2011-2013 a permis la mobilisation du fonds de péréquation selon des modalités nouvelles ». Concrètement, la Poste dispose de 170 millions d’euros, au lieu de 130 millions auparavant.

Ceci lui permet de « garantir, dans chaque département, en 2012, le niveau d’heures d’ouverture des bureaux de poste ruraux, tel qu’il peut être constitué à l’issue des évolutions opérées au titre de 2011 ». Le maire considère que « ce courrier pourrait résoudre notre affaire ». Mais il appelle la population à manifester le 1er mars à Vannes, où se réunit la Commission départementale de présence postale territoriale

Source : Ouest-France publié le 21/02/2012

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FOCOM veut un budget social en hausse!

22 Février 2012, 11:06am

Publié par FOcom Poste 06

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Discours de M. Sarkozy : FO COM met en garde contre le déni de la légitimité républicaine des syndicats

22 Février 2012, 11:03am

Publié par FOcom Poste 06

La Fédération FO COM constate que, lors de ses discours d'Annecy et de Marseille, M. Sarkozy a nié la légitimité des syndicats et a tenté de jeter le discrédit sur leur existence même.

Certes, chacun est libre, en démocratie, de critiquer, d'ironiser, de contester telle ou telle position ou action d'un syndicat.
En revanche, celui qui est président de la République en exercice ne doit pas oublier son rôle de garant de la Constitution. Celle-ci affirme le rôle essentiel des syndicats dans la République. Dès lors, il est scandaleux d'affirmer, dans un discours, que les syndicats, avec d'autres corps intermédiaires, sont des obstacles à la démocratie et à l'intérêt général.
C'est jeter par-dessus bord le principe même du dialogue social que de dauber sur « les compromis boiteux ». Oser dire « quand on aime la France, on n'est le prisonnier d'aucun syndicat », c'est rejeter hors de la Nation et de l'Histoire des générations de syndiqués.

C'est oublier que le syndicalisme a non seulement été à la source des grandes conquêtes sociales du peuple français (retraites, assurances sociales, droit du travail, etc.) mais aussi qu'il a su, dans les moments les plus difficiles, défendre la République.
FO COM rappelle que si le syndicalisme est légal, c'est parce qu'il est légitime en République. L'attaquer revient à fragiliser cette dernière.

FO COM appelle solennellement à plus de tenue et de responsabilité dans l'expression publique et manifestera une vigilance sans exclusive à ce sujet.

Jacques DUMANS Publié le 21/02/2012

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Dernière minute : Regonflés par l'ouvrier...

21 Février 2012, 09:58am

Publié par FOcom Poste 06

Soutenus par le candidat NPA Philippe Poutou, sur place hier, les facteurs entament leur deuxième semaine de grève.

Philippe Poutou : « Le plus important, c'est la volonté de gagner votre combat ».

Après Lormont, Biganos, Gujan-Mestras, Pessac va-t-elle devenir la nouvelle bête noire de la direction de La Poste ? Hier, les négociations concernant la réorganisation des tournées n'ont pas avancé d'un pouce entre les facteurs grévistes et responsables du centre de distribution du courrier, avenue Roger-Chaumet.

Devant les lieux, il y a eu, en revanche, pas mal de bruit avec en milieu de journée la visite de Philippe Poutou, candidat du NPA (Nouveau parti anticapitaliste) à l'élection présidentielle. Récit de la journée.

Hier matin, les postiers ont entamé leur septième jour de grève. « Nous sommes trois de plus », annoncent-ils de bon matin. Sur les 39 tournées prévues ce lundi, dix vont être assurées, selon leurs chiffres.

Service quand même assuré

L'analyse de la direction est différente. Elle compte 30 % des agents en grève ce lundi. Depuis le début du conflit, « grâce au personnel non gréviste et aux mesures de continuité de service mises en place par La Poste, tous les habitants reçoivent du courrier au minimum un jour sur deux », indique-t-elle dans un communiqué.

Dans la matinée, elle reçoit les organisations syndicales, comme chaque jour depuis le dépôt de préavis de grève illimitée déposé par la CGT, FO et Sud le 14 février. « Un simulacre ! Le diagnostic est ficelé. Ils ne veulent pas revenir en arrière », scande Jean-Pierre Bernadet (CGT) pour résumer la rencontre.

Les facteurs effectuent 45 tournées dans Pessac. La réorganisation prévoit deux suppressions de tournées à partir du 20 mars, selon la direction qui avance une baisse de trafic. Les grévistes parlent, eux, de trois suppressions, et avancent un nombre de boîte aux lettres en constante augmentation dans la commune.

Midi, le conseiller général communiste Jean-Jacques Paris, ancien postier, arrive sur le piquet de grève. Dans la foulée, il envoie une lettre à Christian Carles, directeur opérationnel courrier pour lui demander d'ouvrir le dialogue avec les organisations syndicales afin de prendre en compte « les revendications des personnels ».

Il n'est pas le premier élu politique à se mêler de l'affaire. En fin de semaine dernière, le maire Jean-Jacques Benoît (PS) et le député et président du Conseil régional Alain Rousset (PS) ont déjà apporté leur appui aux facteurs.

14 heures. Les caméras arrivent en nombre. Philippe Poutou, qui débauche de l'usine Ford à Blanquefort, est attendu d'une minute à l'autre. « Ça fait du bien d'être soutenus », lâche Thierry Lacoste.

La guerre des nerfs a débuté

Pas postier comme Olivier Besancenot, mais fils de postier, l'ouvrier mécano regonfle le moral des troupes. « Vous entrez dans une guerre d'usure avec votre direction. L'argent que vous perdez, c'est a priori le nerf de la guerre. Le plus important, c'est la volonté de gagner votre combat », leur dit-il.

Certains des grévistes ont perdu près de 500 euros depuis le début du conflit. « On est en train de s'organiser. On a collecté des fonds pour tenir, explique un syndicaliste de Sud. On est partis dans le conflit sans être sûrs de gagner. Mais nous sommes arrivés à un point de non-retour. On ne va pas admettre, comme ça, ce qu'il se passe. »

Le candidat NPA reviendra s'il faut. Il est « le porte-parole de ceux qui se battent contre l'aggravation de leurs conditions de travail », martèle-t-il.

Par téléphone, la direction indique une nouvelle rencontre ce mardi après-midi. 15 heures. Gonflés à bloc, des syndicalistes montent dans le bureau du directeur du centre. Nouvelle proposition. L'audience aura finalement lieu ce matin à 9 h 30 au siège de Mériadeck. Les facteurs ont quelques minutes plus tôt voté la poursuite de la grève.

Pessac· Bordeaux rive gauche· Alain Rousset

Source : http://www.sudouest.fr/2012/02/21/

Nb : L’avantage avec La Poste est qu’il se passe toujours quelque chose, quelque part ! Pas d’ennui possible !

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