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FOcom Poste 06

informations generales

Actu du CA – Des résultats financiers, certes… Et les postiers dans tout ça ?

21 Novembre 2022, 19:03pm

Publié par FOcom Poste 06

Au regard des chiffres du premier semestre 2022, on peut dire que La Poste consolide ses résultats. Ainsi, le chiffre d’affaires semestriel s’élève à 17,5 Mds€, en progression de 3,7 %. Le résultat net atteint 883 M€.

Ces chiffres sont le produit à la fois de quelques écritures comptables exceptionnelles, mais aussi de l’acquisition de 100 % de la CNP au printemps permettant de bénéficier d’un impôt différé à hauteur de 900 M€. Ceci vient compenser la dépréciation des actifs courriers de 912 M€ et les 157 M€ de cession de DPD Russie. À cela, il faut rajouter la diversification des activités du Groupe telle qu’elle est définie dans le plan stratégique «2030, engagés avec vous» qui contribue à une dynamique économique notamment au niveau des Branches. 

[Lire l’Actu du CA]

 

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Timbre postal rouge : sa disparition questionne l’égalité entre usagers

15 Novembre 2022, 16:44pm

Publié par FOcom Poste 06

Il était le symbole du courrier prioritaire livré le lendemain. Avec la fin du timbre rouge au 1er janvier 2023, le facteur risque de sonner moins souvent...

À partir du 1er janvier prochain, pour un courrier livrable à J+1, il vous faudra un ordinateur, aller sur le site Internet de La Poste, créer un compte, télécharger votre lettre (ou l’écrire en ligne) et payer 1,49 euro, minimum. Voilà l’e-lettre rouge. Les services postaux, qui promettent la confidentialité du système, imprimeront votre lettre et la mettront sous enveloppe. Cette innovation menace d’exclure une partie de la population peu à l’aise avec le numérique ou n’y ayant pas accès, s’indigne Jean-Philippe Lacout, coordonnateur national de la branche courrier-colis pour FO-Com La Poste. Et de rappeler qu’actuellement, les lettres recommandées dématérialisées représentent moins de 5 % de la totalité de ce type de courrier. La fin du timbre rouge imprimé (à 1,46 euro, son tarif ayant plus que doublé en dix ans) fait craindre plus largement  la fin de l’acheminement du courrier à J+1, ainsi que l’annonce de nouvelles restructurations à La Poste, avec réduction de voilure, autant dire d’emplois. On risque de perdre 40 % à 50 % de l’effectif des facteurs, soit autour de 20 000, dont des contrats précaires. Par ailleurs,  la pyramide des âges à La Poste est élevée, avec des agents autour de 53 à 60 ans... Et lorsque l’on sait que les départs en retraite ne sont pas remplacés...

 L’indispensable rôle de l’État

Alors que La Poste cherche à diversifier ses activités face à la baisse de volume de l’activité courrier-colis (-7,3%, chiffres du premier semestre 2022), cela ne peut se faire par une rupture d’égalité dans le traitement des usagers quant à leur accès au service universel du courrier, lequel relève d’une mission de service public, insiste la secrétaire générale de FO-Com. Sans compter, alerte Christine Besseyre, que moins d’obligation à acheminer à J+1 signifie que le facteur pourrait ne passer qu’un jour sur deux, voire un jour sur trois. Au risque donc d’aggraver encore aussi les conséquences, déjà patentes, de la désertification des services publics sur le territoire.

Alors que pour la militante, cette décision de suppression du timbre rouge ne vise pour La Poste qu’à réorganiser le réseau de distribution via des fusions/acquisitions d’établissements, elle rappelle l’indispensable rôle de l’État qui, par ses compensations, doit “ porter ” le service public postal. Au 30 juin 2022, celles-ci étaient, sur six mois, de 152 millions d’euros. Pas suffisamment à l’évidence.

 

Le timbre à J+1 : 173 ans de bons et loyaux services
Le premier timbre préoblitéré voit le jour en France le 1er janvier 1849, après un vote de l’Assemblée le 24 août 1848. C’est le Cérès noir, à 20 centimes, à l’image de la déesse antique de l’agriculture, de la fécondité et des moissons, rappelle La Poste, évoquant cette petite vignette devenue un objet incontournable du quotidien. Créé par le graveur de la Monnaie de Paris Jacques-Jean Barre, le Cérès introduit le système du port payé et non plus d’un port dû à réception d’un courrier. Le timbre rouge naît lui aussi en 1849, en avril. Il est dans un premier temps destiné à la livraison à J+1 des colis les plus lourds (puis au courrier prioritaire à partir de 1969). Il est alors couleur vermillon et coûte un franc. Après cent soixante-treize ans de service, il tire sa révérence, dans sa version imprimée, au profit, dès le 1er janvier 2023, du système numérique de « l’e-lettre rouge ». Encore faut-il avoir un ordinateur...

 

 VALÉRIE FORGERONT

 

Journaliste à L’inFO militante

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InFO : Compte Epargne Temps - Versement et monétisation

14 Novembre 2022, 19:22pm

Publié par FOcom Poste 06

 

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Le gouvernement annonce la régulation du Compte Personnel de Formation

11 Novembre 2022, 19:41pm

Publié par FOcom Poste 06

Dans le cadre du Projet de Loi de Finances (PLF) pour 2023 adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, le gouvernement a retenu un amendement relatif au Compte Personnel de Formation (CPF) dans lequel figure un double objectif : mobiliser le CPF en faveur de l’insertion et du maintien en emploi et limiter l’investissement financier de l’État en la matière. Le détail des modalités serait renvoyé au pouvoir réglementaire et à la consultation des interlocuteurs sociaux.

Force Ouvrière est particulièrement méfiante quant aux modalités de régulation qui seront proposées. En effet, bien que favorable à une régulation du dispositif, elle reste fermement opposée à toute logique de modération financière synonyme de reste à charge pour le titulaire du compte.

Lourd de conséquences, cet amendement pourrait remettre en cause l’essence du CPF, originellement envisagé comme un droit individuel garanti collectivement. S’il est conditionné à une exigence d’employabilité couplée d’une logique financière, le droit des salariés s’en trouverait gravement diminué.

Par conséquent, lors de la consultation à venir, FO affirmera son opposition à une régulation financière de l’usage du CPF, et revendiquera une régulation par la qualité de l’action de formation ! De surcroît, elle rappellera que le CPF demeure un outil au service de la formation professionnelle continue qui doit s’inscrire dans un cadre professionnalisant grâce à la mise en place d’un accompagnement systématique des titulaires par les conseillers en évolution professionnelle.

MICHEL BEAUGASSecrétaire confédéral au Secteur de l’Emploi et des retraites

 

 

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Réorganisation de La Poste: FO Com Corse monte au créneau

28 Octobre 2022, 10:30am

Publié par FOcom Poste 06

Le schéma directeur industriel et les agences postales communales de La Poste mis en place par la direction en Corse inquiètent le syndicat FO.

Claire Calendini, secrétaire territoriale FO Com Corsica La Poste, a développé tous les arguments de son syndicat ce mardi à Bastia. Lire l’article de Corse Net Infos

 

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Emploi : Un peu de calcul…

26 Octobre 2022, 10:44am

Publié par FOcom Poste 06

Effectifs et mouvements : le compte est bon (pour La Poste)

Le bilan social 2021 faisait état d’un effectif total de 176 866 postières et postiers mais, en réalité, si on enlève les TPAS, les agents en longue maladie, etc… on comptabilise 134 727 personnels permanents dont 73 165 femmes.

Une fois qu’on a dit cela, on regarde les tableaux d’un peu plus près : 5 449 embauches en CDI pour 11 957 départs !

La Poste est une entreprise qui se porte bien, et même très bien lorsqu’on regarde les résultats financiers de ce premier semestre 2022. Certes, la finance, ce n’est pas uniquement les activités propres à l’entreprise mais aussi de judicieuses écritures comptables.

En résumé, selon La Poste : baisse de trafic au courrier, baisse de fréquentation dans les bureaux de poste, concurrence de plus en plus acérée, compétitivité à revoir : Il faut baisser les effectifs ! Certes, mais il ne faut pas faire n’importe quoi : On ne remplace qu’un 1 postier pour 2 départs, on mutualise, on presse, on agrandit les périmètres d’intervention, les tournées, on réduit les créneaux horaires d’ouverture. Aucune surprise donc de retrouver de nombreux personnels en burn-out ou en inaptitude.

Tiens, l’inaptitude, parlons-en ! 525 licenciements pour inaptitude ! Mais combien le sont devenus du fait de conditions de travail déplorables ?

686 licenciements pour discipline ! Là aussi, une recrudescence à peine voilée de la part de La Poste. Les CAP/CCP sont-ils devenus un outil RH afin de réguler les effectifs ?

FO Com dénonce fermement la politique de gestion des effectifs. Bien que les profits d’une entreprise soient essentiels à la survie de celle-ci et donc de ses salariés, ces derniers étant les principaux acteurs de cette réussite, ils doivent être les principaux bénéficiaires de ces résultats. Par des augmentations réelles et substantielles de salaire mais aussi par une amélioration des conditions de travail.

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La liberté syndicale – Outil fondamental d’exercice des droits collectifs et individuels

17 Octobre 2022, 09:59am

Publié par FOcom Poste 06

Aujourd’hui, la moitié de la population mondiale ne dispose pas de la moindre liberté syndicale, sans laquelle la mise en œuvre des droits fondamentaux de défense des intérêts moraux et matériels des travailleurs ne peut être effective. D’autant que même là où cette liberté syndicale est inscrite dans la loi, elle est appliquée de façon très inégale.
C’est au cours du 19ème siècle que les échanges d’idées autour de la liberté des travailleurs se font les plus vifs et traversent le monde ouvrier. Les travailleurs s’organisent, comme le proclame la 2e internationale fondée en 1889, pour se sentir mieux assurés de leur force. Ils veulent affirmer leur dignité en tant que travailleurs, ce qui fait naître au fil du temps un certain nombre de tensions dans les partis politiques et de la peur dans les pouvoirs en place craignant la révolution.

 

La grève : cet instant disruptif universel

Débattue à la fois sur ses formes et ses finalités, la grève est perçue comme une caractéristique identitaire qui reste disputée, discutée au sein même des travailleurs. Il y a plusieurs façons de concevoir la grève : la grève locale sur un sujet et un domaine précis afin d’introduire des négociations contractualisées et la grève générale, ce « mythe » mobilisateur dépeint par Jaurès et Sorel, ce vers quoi, dans un mouvement de lutte historique, on imagine que peut aspirer l’intégralité de la classe ouvrière. Ces deux formes, grève contractuelle, élément de démonstration de la force de la classe ouvrière dans un pays démocratique et grève comme élément de révolution, visent à peser pour établir de nouveaux droits et même influer sur les lois régissant un pays, souvent en opposition des tenants du pouvoir. La grève reste l’arme ultime devant l’absence ou refus de négociations.
D’ailleurs, l’histoire de la grève est émaillée de répressions et de drames, à l’image de La Commune de Paris ou de Courrières, mais aussi d’avancées structurelles et symboliques comme la création d’organismes sociaux, de caisses de solidarité et de mutuelles de même que l’origine du 1er mai aux USA pour instituer en France « une journée de manifestation ».

En s’intéressant à l’histoire des grèves en France, on peut noter qu’elle ne résonne pas de la même manière, ni par leur organisation ni par leur finalité. De plus, toute une série de professions sont, soit hors de cette pratique directe (artisan, profession libérale), soit sur un droit plus récent comme les étudiants et les fonctionnaires notamment sur le droit de se syndiquer. Privés de droit ou dans l’impossibilité d’organiser des actions, certains secteurs ont développé d’autres modalités, s’organisant au travers de mouvements de protestations libérales. Ces actions restent néanmoins inscrites dans la même démarche : être l’empreinte d’une action intégrante et essentielle à une identité collective.

À ce jour, le droit de grève est criminalisé dans 85 % des pays étudiés par la CSI*, affirmant que les autorités ont brutalement sanctionné les actions collectives des travailleurs exerçant leur « droit de grève ». Ils ont souvent été pénalement poursuivis et ont été victimes de licenciement sommaire. Dans le monde, les organisations syndicales – se revendiquant de la liberté d’association – ont vocation à développer et à inciter aux libertés d’opinion et d’expression. Ces actions sont fortement réprimées dans les régimes totalitaires, dictatoriaux et autoritaires. Le syndicalisme est alors « démantelé » par tous les moyens (y compris « légaux ») afin que celui-ci ne puisse promouvoir une liberté qui pourrait susciter une émancipation populaire contre les régimes en place.

Négocier collectivement : obtenir de nouveaux droits et ériger des remparts

Les négociations collectives dont dépendent aujourd’hui majoritairement les relations de travail (employeurs/salariés) n’ont pas toujours été bien accueillies par le patronat. Dans la plupart des pays développés, compte tenu du coût collectif des conflits sociaux, patronats et syndicats de salariés ont inversé au cours du XXe siècle le rapport qui plaçait le conflit comme phase préalable de la négociation. Le conflit ouvert est devenu moins fréquent, réduit aux situations où les acteurs ne trouvent pas de solution par la négociation s’éloignant peu à peu de la conflictualité, pour devenir le mode dominant de construction des règles du jeu. Ce nouveau mode tend à dissoudre au profit du patronat le rapport de force espéré par le syndicat.

La négociation collective d’entreprise conçue comme un processus établi reposant sur un engagement mutuel des parties se met en place plus largement avec l’arrivée des lois « Auroux » en 1982, qui ouvrent une faille dans le système conflit/négociation et font de l’entreprise le niveau pertinent de la négociation collective. Mais au moment même où les entreprises engageaient ces politiques, elles ont été déconstruites par un ensemble de phénomènes cumulés.
Les grandes entreprises ont effectué un virage important : celui de nouvelles organisations de travail fondées sur la création d’unités autonomes disposant de petits effectifs, orientées et pilotées par le marché. Les activités estimées comme non stratégiques ont été externalisées et la sous-traitance s’est développée, déconstruisant la logique antérieure du marché interne du travail. Et le couperet tombe : le développement des groupes d’entreprises, y compris pour des unités de petite taille, révise les conditions d’élaboration de la négociation collective. Il s’en suit qu’à l’intérieur d’un collectif de travail, on découvre que cohabitent souvent des salariés appartenant à des filiales d’un même groupe ou à des entreprises différentes et qui ne relèvent pas de la même convention collective. Cette transformation de modèle d’entreprises modifie considérablement l’approche syndicale qui doit synthétiser de façon collective des intérêts voulus antagonistes.

La loi de 2008, mettant fin à la présomption irréfragable des cinq grandes confédérations syndicales (CGT, CFDT, CGT-FO, CFTC, CFE-CGC) et modifiant la représentativité syndicale a eu pour effet de diluer davantage « le poids » collectif des travailleurs. Plus récemment, la loi El Komhri et les ordonnances Macron viennent porter un coup de plus aux syndicats, l’exercice des mandats couplé à la perte de proximité avec les salariés engendrée par les nouvelles organisations et formes du travail rendent l’échange et la rencontre pour s’organiser puis débattre bien plus difficile. L’intensification des formes d’emploi et du nombre de salariés en contrat à durée déterminée ou en intérim disloque le champ antérieurement couvert par la négociation collective. Cette situation nous interpelle puisqu’elle réduit la protection juridique d’une partie de ces travailleurs, en les privant d’interlocuteurs en matière de négociation et de dialogue social.

Le droit, qu’il soit individuel ou collectif, ne s’use que si on ne s’en sert pas. Dans le mouvement actuel de transformation des entreprises, du marché de l’emploi et du cadre législatif, la capacité d’action des syndicats se trouvent entravée, alors que les enjeux collectifs se complexifient. Mais une chose est sûre, rien n’est jamais acquis ni perdu d’avance. Le syndicat saura trouver réponse aux maux actuels.

* Indice CSI des droits dans le monde 2020

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Courrier – Directeur d’établissement : un métier à haut risque

9 Octobre 2022, 22:32pm

Publié par FOcom Poste 06

Le métier de Directeur d’Etablissement: Un Graal, une ambition, une perspective de carrière ? que nenni.

FO Com alerte sur les risques psychosociaux (RPS) des Directeurs d’Établissements. Un mal-être grandissant… Jusqu’où ?

FO Com exige sans délai une évaluation sérieuse de la charge de travail totale.

[Lire le tract]

 

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9 octobre : Journée mondiale de la poste

9 Octobre 2022, 22:16pm

Publié par FOcom Poste 06

Luttons pour un service postal public et mobilisons-nous pour les postiers!

Les services publics ont toujours été l’épine dorsale dans le fonctionnement d’un pays car ils sont l’aménagement du territoire, la proximité avec les citoyens, les services de santé ou bancaires indispensables, la distribution de la presse, la livraison de repas, de courrier ou de colis, la relation humaine par principe.

Alors que la pandémie du covid-19 semble être derrière nous, des voix s’élèvent pour rappeler le rôle indispensable et vital de nos services publics et notamment de nos postiers. Qui étaient les seuls contacts avec la population pendant les confinements de la crise sanitaire ? Nos postiers présents partout sur le territoire ont répondu présents alors que le gouvernement tergiversait encore sur le port du masque, le gel ou les protocoles sanitaires.

La Poste a encore cette image de « grande maison » avec sa proximité, sa chaleur humaine mais pour combien de temps encore ?

Les nombreuses réorganisations et privatisations de nos postes nuisent à nos missions de service public et impactent fortement les conditions de travail des postières et postiers : maigres salaires, conditions difficiles. L’un des derniers rapports du GIEC atteste de l’impact de la libéralisation sur les services publics.

Notre Poste française évolue comme nos postes européennes mais cela ne peut être à ce prix. Nos postiers ont encore ce lien avec la population. Cessons de casser le service public au principe qu’il faudrait réformer…La Poste doit garder les moyens pour ses missions de service universel, pour un coût carbone maîtrisé.

Depuis des années, FO Com met en garde La Poste sur ses expérimentations en matière de nouveaux services ou de digitalisation. Cela ne peut se faire sans concertation et surtout sans les postiers. Alors redonnons ses lettres de noblesse à La Poste !

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AFOC - Association Force Ouvrière Consommateurs

6 Octobre 2022, 10:37am

Publié par FOcom Poste 06

Plusieurs changement interviennent dans le quotidien des consommateurs au 1er octobre. L’AFOC vous fait le point :
- L’augmentation du taux d’usure : ces taux de 3,05% pour les crédits sur 20 ans et plus, contre 2,57% au trimestre précédent. Pour une durée inférieure à 20 ans, le taux d'usure grimpe à 3,03 %, contre 2,60% jusqu'à présent.
📈
- Relèvement du plafond des titres-restaurant à 25€ par jour : le plafond d’usage quotidien des titres-restaurants est passé à 25€ par jour ouvre depuis le 1er octobre 2022, soit une augmentation de 6€ par jour.
💳
- Dépannage sur autoroutes : en cas de dépannage, par un garagiste agréé, des véhicules d'un poids inférieur à 3,5 tonnes, sur place, ou un dépannage nécessitant un remorquage le forfait s'élève à 138,01 €, soit une augmentation de 4 % par rapport à 2021. Ces prix sont majorés de 50 % si l'appel d'urgence a été passé entre 18 heures et 8 heures ou les samedi, dimanche et jours fériés, soit 170,65 €, soit une diminution du prix par rapport à 2021.
🛣
L’AFOC rappelle que les tarifs doivent être affichés dans la cabine du véhicule de dépannage et après son intervention (dépannage simple ou remorquage), l’intervenant doit remettre à l’automobiliste une facture indiquant les prestations fournies ainsi que leur prix.
- Chèque énergie exceptionnel 2022 : afin de lutter contre la hausse des prix de l’énergie, un nouveau chèque énergie exceptionnel d'un montant de 100 à 200 € sera versé à 40 % des foyers les plus modestes d'ici la fin de l'année. Cette mesure vient en complément de la prolongation du bouclier tarifaire en 2023.
💡
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter notre article sur notre site internet www.afoc.net.

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