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FOcom Poste 06

informations generales

CHSCT extraordinaire à Castres (Tarn)

26 Juin 2012, 09:09am

Publié par FOcom Poste 06

Non à la sécabilité !

Comme à Argenton, alors ?

Oui… mais non ! A Castres, c'est carrément l'inspection du travail qui s'y est mise à la suite d'un CHSCT extraordinaire, CHSCT au cours duquel, représentants du personnel comme médecin du travail ont dénoncé les conditions de travail liées aux réorganisations répétées et relevé "un risque psychosocial certain générant un risque grave et imminent" dans la décision de la Poste d'imposer la sécabilité pendant plusieurs semaines d'affilées (juin à fin août).

Dans la foulée, l'inspection du travail préconise : "Un diagnostic approfondi de la situation doit y être réalisé […] Un plan d'actions doit être associé au diagnostic afin d'améliorer les conditions de travail".

Et puisque la Poste tarde à réagir, les facteurs, depuis, exercent leur droit de retrait, c'est-à-dire qu'ils font leur tournée mais... sans la partie sécable !

A Argenton (cf. article du 21 juin 2012) comme à Castres, à Fontaine (38) comme un peu partout, le "gel" des réorganisations ne suffit pas. Il faut arrêter la sécabilité !

> Lire l'article

Source de l’encart: FOCOM 38

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INFO: Jean-Claude MAILLY sur France Inter

25 Juin 2012, 23:43pm

Publié par FOcom Poste 06

Le Secrétaire général de Force Ouvrière Jean-Claude Mailly était l'invité de Pascale Clark dans "5 Minutes avec" (7h50 - 25 juin 2012). La hausse du SMIC à 2% est "insuffisante" selon lui car "vu la hausse des prix, un objectif ambitieux avec un coup de pouce significatif" de 5% aurait été préférable...

    

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INFO: Soupçon de travail dissimulé à la Poste...

25 Juin 2012, 08:37am

Publié par FOcom Poste 06

L’inspection du travail a constaté de nombreux cas de travail dissimulé liés au mode de calcul des heures supplémentaires des facteurs. La justice est saisie.

La Poste fait-elle dans le « travail dissimulé »? C’est en tout cas l’expression utilisée par les inspecteurs du travail dans de multiples procès-verbaux dressés au cours des trois dernières années. Et plusieurs de ces documents — dont notre journal a obtenu copie — ont des suites judiciaires. Ainsi, le tribunal de police de Lyon se penchera le 2 juillet sur un procès-verbal concernant l’organisation de la distribution du courrier à Saint- Symphorien-d’Ozon (Rhône).

Autre exemple, à Saintes (Charente-Maritime), le syndicat SUD s’est porté partie civile en avril dernier dans une affaire du même type. Plus grave, une information judiciaire pour « travail dissimulé » a été ouverte en 2010 par le parquet de Besançon.

Au cœur des litiges entre la Poste et ses employés : les heures supplémentaires réalisées par les facteurs qui n’ont pas le statut de fonctionnaire. Plus précisément, ce sont des oublis répétés dans le décompte de ces heures supplémentaires qui interpellent les inspecteurs du travail. Mal reportées sur les plannings, celles-ci ne seraient pas toujours payées.

Horaire théorique contre horaire réel

La Poste, une entreprise publique détenue à 100% par l’Etat, construit les journées de travail en fonction d’horaires dits « collectifs ». En clair, ce sont les mêmes pour tous les facteurs. Par exemple, à Saint-Symphorien, près de Lyon, tous sont censés débuter leur journée à 6h30 et l’achever à 13h4. Leurs circuits (à pied, à vélo ou en voiture) sont déterminés de manière à pouvoir être respectés à la minute près. Pour une multitude de raisons (intempéries, problème de découpage de secteur, méconnaissance de la tournée…), la tournée peut prendre plus de temps que prévu. « Parfois les facteurs dépassent l’horaire collectif, le temps de travail peut fluctuer », admettent ainsi des membres de la direction des ressources humaines de l’entreprise dans un des PV dressés par les inspecteurs du travail. Le hic, c’est que, si le facteur déborde des horaires prévus, ces minutes (voire ces heures) de travail supplémentaire ne sont pas systématiquement reportées sur les plannings. « Les feuilles de présence n’enregistrent pas la durée réellement travaillée », constatent ainsi les inspecteurs du travail, selon qui la Poste peut tomber sous le coup de délit de « dissimulation partielle de salarié ».

Contactée par notre journal, la direction de la Poste relativise l’impact de ces problèmes d’organisation du travail. « Compte tenu du découpage très fin des tournées, les dépassements constatés constituent l’exception, et non la règle », se défend-elle. Qui plus est, « en cas de constat d’heures supplémentaires, celles-ci donnent lieu à une rémunération ou à un repos ».

A l’heure actuelle, rappelle-t-on au siège, l’entreprise publique n’a « jamais été condamnée par la justice pour du travail dissimulé ». Qu’arriverait-il si l’entreprise publique venait à essuyer un premier revers à la suite de l’audience du 2 juillet à Lyon? Pour Me Roger Potin, avocat au barreau de Brest et défenseur des salariés, « ça ne ferait pas jurisprudence en tant que telle. Mais une première condamnation aurait valeur d’exemple ». L’enjeu est donc crucial. Pour les salariés comme pour la direction.
Boris Cassel | Publié le 25.06.2012

Source : Le Parisien

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INFO : La Poste - «  La disqualification du conflit  »

22 Juin 2012, 08:43am

Publié par FOcom Poste 06

Pour Fabienne Hanique, sociologue, la série de suicides à La Poste rend compte d’un malaise plus global, lié au déni de la lutte sociale.
Le 11 mars, un cadre de la Poste se suicidait sur la plateforme courrier de Trégunc dans le Finistère, laissant une lettre accusant les méthodes de management de l’entreprise. Quelques jours plus tôt, un cadre supérieur s’était défenestré de la Poste de Rennes. Le 15 septembre 2011, une autre salariée s’était donné la mort à Paris. À l’initiative des syndicats Sud, CGT, CFDT et FO, une grève a été lancée le 15 mars pour réclamer « l’arrêt des restructurations, des réorganisations, de la destruction de l’emploi qui ne visent que la rentabilité ». Analyse de Fabienne Hanique, sociologue du travail.
Comment peut-on expliquer la récente série de suicides à La Poste ?

Fabienne Hanique : S’agissant du débat sur la causalité des suicides liés au travail, deux visions s’affrontent. La première, avancée majoritairement par les directions d’entreprise, privilégie la thèse de la fragilité psychologique et/ou familialo-affective de l’individu : c’est parce qu’il est psychiquement affaibli que le salarié ne pourrait plus faire face aux exigences « normales » de son travail. La seconde, défendue par des sociologues et psychologues du travail, met en cause la responsabilité de l’organisation du travail. À La Poste – comme à France Télécom ou dans d’autres entreprises publiques –, cela prend des formes éloquentes : restructurations et réorganisations incessantes, intensification de la pression gestionnaire ne visant que la rentabilité, injonctions répétées à la performance (ou à « l’excellence durable ») et multiplication de dispositifs d’évaluation le plus souvent déconnectés du travail réel…

En quoi cela fait-il tant souffrir ?

Le sentiment de perte de sens, la perte de repères et, surtout, l’impression de voir son (bon) travail empêché sont des plaintes récurrentes. Ce qu’il faut comprendre derrière ça, c’est que les changements qui tapissent les organisations publiques cachent, en même temps qu’ils les orientent, de véritables changements sociétaux : la logique initiale du secteur public est remise en cause au profit du primat de la rentabilité, de l’économique et de la performance financière. À travers ces mesures, c’est une certaine conception de la société qui est en train de se défaire. Sans qu’il y ait eu débat. Cette réorientation silencieuse se fait aux dépens des usagers requalifiés en « clients », et des salariés directement confrontés au public, et qui, dans un discours marketing continuant à vanter les mérites du service public, se voient tenus au quotidien d’assumer des changements avec lesquels ils ne sont pas nécessairement en accord.

Les salariés ont non seulement affaire à des dispositifs managériaux qui les rendent « fous », mais se voient confinés à une impuissance radicale : impuissance à se dégager d’un système que l’on présente comme inéluctable (on « ne peut » contester le progrès et la recherche de rentabilité), impuissance à se départir d’une logique gestionnaire que l’on vit comme destructrice mais dont on se surprend parfois à être « complice » à son insu (en participant, par exemple, à des processus d’évaluation qui conduisent à sa propre perte), impuissance à défendre sa conception du travail « bien fait » devant le diktat de la rentabilité, et enfin, impuissance à trouver les voies collectives pour exprimer sa conflictualité.

L’impuissance à dire serait donc une cause de suicide ?

Pas l’impuissance à dire, mais le sentiment d’impuissance à être entendu… Pourtant, il y a de plus en plus de cellules d’écoute, de numéros verts mis en place par les entreprises pour aider les salariés à parler de leurs problèmes… La parole semble de plus en plus libérée ! Ces cellules écoutent la plainte, la souffrance diffuse ; elles n’entendent pas et ne traitent pas l’expression d’un désaccord, d’une contestation ou d’une conflictualité liés au travail. Les psychologues qui y travaillent sont des sous-traitants, déconnectés de la réalité de l’organisation du travail. Non seulement ces cellules déportent les tensions sociales au rang de problématique individuelle et privée mais, en plus, cette écoute branchée sur la souffrance psychique confirme les appelants dans un vécu de défaillance personnelle. Les salariés préféreraient ouvrir le débat sur le sens de leur travail plutôt que de se voir tendre une oreille compatissante et orientée vers la souffrance.

Vous mettez le suicide en rapport avec la baisse des conflits sociaux ?

Je suis tentée de le faire : de 1947 à 1991, le nombre annuel moyen de jours de grève est de plus de 6 millions ; il frôle à peine les 350 000 aujourd’hui. Les raisons sont multiples : affaiblissement syndical, abrasion du combat politique et des luttes de classes… Il faut ajouter à cela un processus de disqualification symbolique de la notion de conflit. Depuis les années 1980, cette notion est souvent traitée comme le signe d’une immaturité sociale : les managers sont même formés à la « résolution » ou « gestion » de conflits… Les grèves sont souvent traitées de manière désinvolte, tant par les médias que par certains représentants du pouvoir politique qui s’attachent plus souvent à dénoncer le fait que, selon l’expression consacrée, les grévistes « prennent les usagers en otage » qu’à clarifier les raisons pour lesquelles des salariés décident collectivement d’arrêter le travail.

Dans ce contexte d’affaiblissement de la conflictualité sociale et collective, le suicide apparaît comme une forme ultime de résistance face à ce qui échoue à être entendu, l’expression désespérée d’un cri mort d’être resté inaudible trop longtemps

Source : http://www.politis.fr/

Nb : Cet article du 22 mars dans Politis, explique la perte de repères, l’absence de dialogue humain, l'inanité des cellules d'écoute et les souffrances à la Poste, nous pouvons tous nous reconnaitre dans ce qui est écrit….

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INFO : Bull - La Poste renouvelle sa confiance

22 Juin 2012, 08:16am

Publié par FOcom Poste 06

A l'issue d'une consultation du marché de plus de 6 mois, La Poste, au travers de ses Direction du Courrier et Direction du Groupe, vient de renouveler sa confiance en Bull pour la mise à disposition d'une infrastructure d'hébergement sécurisée, à très haute disponibilité et répondant aux besoins de continuité de service des activités stratégiques du Groupe La Poste.

"En pleine trajectoire de son plan stratégique et du développement de son modèle multimétier, La Poste souhaite bénéficier à travers ce contrat de niveaux de service élevés et d'un partenariat dans la durée pour optimiser l'efficience de ses infrastructures" explique le groupe. "L'objectif est d'accompagner en permanence les évolutions d'architecture et les variations de capacité pour être toujours en phase avec les besoins métiers".

Ainsi, avec Le Cloud by Bull, Bull met à disposition de La Poste trois salles informatiques hautement sécurisées, interconnectées, sur la base d'un fonctionnement 24h/24 et 7j/7. Bull apporte son savoir-faire en terme d'urbanisation de data center ainsi que la puissance de ses outils industriels pour surveiller, gérer, rationaliser et maintenir l'ensemble du service. Bull réalisera un portail dédié permettant le suivi en temps réel de la qualité de service et la production de tableaux de bord pour un pilotage efficace.

"La continuité de service est impérative pour le développement et la performance de nos métiers. Bull a su répondre au plus près de nos exigences grâce à son expertise unique en sécurisation des infrastructures. Avec ce nouveau contrat, nous entrons avec Bull dans une relation dans la durée qui doit nous permettre d'aller plus loin dans l'optimisation constante de nos infrastructures , notamment en terme de maîtrise de l'énergie et de baisse des coûts" déclare Robert Demory, Directeur technique et Production de la Direction Courrier du Groupe La Poste.

Les prestations d'hébergement comprennent également des services de proximité à valeur ajoutée, qu'il s'agisse de la gestion des demandes, des incidents, des changements techniques ou de la gestion des biens, tous s'inscrivant dans un objectif constant de rationalisation des infrastructures, d'optimisation de la qualité et de maîtrise des coûts.

"Ce contrat reflète la capacité de Bull à répondre aux exigences des environnements les plus critiques, en offrant des services industriels et sur-mesure. Cela conforte les efforts significatifs en termes d'investissements réalisés en permanence dans nos data centers pour offrir des infrastructures hautement sécurisées, urbanisées et éco responsables" conclut Philippe Miltin, Vice-président de la Business Line Computing Solutions chez Bull.

Source : www.boursier.com  – Publié le 21 juin 2012

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Lu pour vous: Payer la dette… ou pas ?!

20 Juin 2012, 07:47am

Publié par FOcom Poste 06

Nouvelles d'Islande

Depuis 2 ans, on nous rebat les oreilles avec la "crise" et la nécessité absolue de rem-bour-ser la DETTE.

Tout le monde le dit : la droite, la gauche, les "experts" économiques, les commissaires européens, les banquiers  (ben, tiens !)…

Et, pendant ce temps, les peuples d'Espagne, d'Italie, de Grèce,… sommés de respecter les traités de "stabilité" s'enfoncent tous les jours un peu plus dans la misère.

Inéluctable ?

Pas sûr ! En tous cas, ce n'est pas l'avis de l'Ouest Syndicaliste* qui publie cet article assez… convaincant !

> Lire…

* l'OS : Ouest Syndicaliste, journal de l'Union Départementale FO de Loire Atlantique

Source : http://fo-poste-38.blog4ever.com/ Publié le 19-06-2012

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INFO : La Poste va revoir les salaires de quatre de ses dirigeants

19 Juin 2012, 15:28pm

Publié par FOcom Poste 06

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Jean-Paul Bailly, le PDG de La Poste. | AFP

A La Poste, quatre dirigeants, mandataires sociaux, sont concernés par le futur décret sur la limitation des rémunérations des chefs d'entreprises publiques contrôlées par l'Etat. L'établissement public devra revoir leurs rémunérations.

Les précisions apportées, le 13 juin, par Pierre Moscovici, ministre de l'économie et des finances, sur le texte de loi, qui doit concrétiser l'un des 60 engagements de campagne de François Hollande, ont permis aux sociétés concernées de sortir leurs calculettes.

Après plusieurs semaines d'incertitude, deux points sont désormais établis : la réforme touchera exclusivement les mandataires sociaux (PDG et directeurs généraux), qui ne pourront gagner plus de 450 000 euros, salaire et part variable compris, soit pas plus de 20 fois la moyenne des 10% des salaires les plus bas.

Ce plafond sera commun à toutes les entreprises, afin qu'il n'y ait pas de distorsion entre dirigeants, selon la réalité salariale de leur entreprise.

DÉCRET DÈS JUILLET

Chez l'opérateur public postal, et sous réserve de modifications substantielles du futur décret, trois dirigeants sont aujourd'hui "hors des clous" : le PDG, Jean-Paul Bailly (635 974 euros de rémunération totale en 2011), le président du directoire de La Banque postale, Philippe Wahl (833 271 euros en 2011) et le président de GeoPost, Paul-Marie Chavanne.

Le directeur général du courrier Nicolas Routier est, quant à lui, "potentiellement concerné". C'est en effet l'importance de son bonus qui lui fait ou non dépasser le plafond de 450 000 euros fixé par le gouvernement. En 2011, année de crise, sa rémunération était conforme à la règle.

Le gouvernement, qui fait de la limitation des salaires des patrons du secteur public une question d'exemplarité, estime que le décret devrait être prêt dès juillet et appliqué d'ici à la fin de l'année ou en 2013, selon les entreprises.

Au total, une vingtaine de dirigeants pourraient être concernés dans quinze entreprises, sachant que, pour des questions d'harmonisation des salaires, d'autres responsables risquent d'être visés par effet de ricochet.

S'agissant des sociétés dans lesquelles l'Etat est actionnaire minoritaire, ses représentants tenteront de faire appliquer la même règle.

Anne Michel

Source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/06/19/

Nb : Le Smic français est trop généreux ! Nos chômeurs sont trop indemnisés ! Mais pour les « patrons » 20 fois la moyenne des 10% des salaires les plus bas est intolérable ! Revenons à des bases plus saines, par exemple 10 fois « LE » salaire le plus bas, ça ce serait un coup de pouce aux négociations salariales futures… Et les mécontents pourraient toujours créer leur propre entreprise !  

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INFO : La Poste/cadres - "nouveau pacte social"

19 Juin 2012, 09:24am

Publié par FOcom Poste 06

Un collectif de cadres de La Poste a proposé aujourd'hui un "nouveau pacte social" pour l'entreprise publique, après avoir fait le constat d'un développement "de la souffrance au travail" et "de la précarité". Ce collectif, qui a adressé au gouvernement et à la direction du groupe ses propositions, suggère notamment de "réinternaliser" des activités postales, le "cœur de métier", confiées à des sous-traitants.

"Partant du constat qu'aujourd'hui à La Poste, il y a une montée du stress et de la souffrance au travail, 85.000 emplois en moins en dix ans, une montée de la précarité et de l'absentéisme, il nous a semblé nécessaire de proposer un nouveau pacte social", a expliqué à l'AFP Franck Pupunat, à la tête du mouvement.

Le collectif propose "la sauvegarde de l'emploi dans les bureaux de poste et la diminution drastique du recours aux contrats précaires". Il réclame que plus de 4.000 contrats de travail temporaires ou précaires soient transformés en contrat à durée indéterminée (CDI) en 2013 et 2014.

Le collectif plaide aussi une politique "rénovée" de rémunérations, de promotion et de formation. "Cela coûtera 54 millions d'euros pour financer toutes ces mesures", a estimé M. Pupunat qui propose "de ramener le taux d'absentéisme en deux ans à 20 jours", contre 22 actuellement, "ce qui dégagerait une économie de 68 millions d'euros". La Poste emploie environ 240.000 personnes sur tout le territoire.

Le PDG Jean-Paul Bailly a lancé en mars "un grand dialogue pour améliorer la cohésion sociale", après des suicides au sein du groupe

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/06/18/ et AFP

Nb : NO COMMENT !

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INFO: Liste d'aptitude 2012 grades de reclassement...

16 Juin 2012, 08:49am

Publié par FOcom Poste 06

Rappel : Comme d’habitude, les agents réunissant les conditions de candidature précisées dans la note de service jointe ne sont pas automatiquement déclarés candidats. De ce fait, vous devrez formaliser votre demande sur l’imprimé prévu à cet effet en annexe I de la note de service.

La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 08 octobre 2012.

A noter que comme à l’accoutumée, le nombre de promotions diminue (112 annoncées, 139 en 2011)

 Pour lire la note, cliquez sur le lien: (link)

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Commission de suivi du contrat “Prévoyance Santé” des salariés

14 Juin 2012, 09:37am

Publié par FOcom Poste 06

Ce mercredi 13 juin 2012 s’est tenu la commission de suivi de l’accord « Prévoyance Santé » qui couvre les agents contractuels de La Poste.

La présentation du diaporama [Télécharger ici] montre :

  • Une progression de 8 % des « actes consommés »,
  • Un régime « santé » bénéficiaire en 2011(page 31) et bénéficiaire en prévision jusqu’en 2014 (pages 34-35),
  • Un régime « Prévoyance » déficitaire en 2011 (page 40) avec une inquiétude de La Poste sur les arrêts de travail en progression (étonnant, non ?), et une étude détaillée plus loin.
  • Une qualité de la plateforme téléphonique en deçà des objectifs du contrat (page 46).

Donc La Poste « s’interroge sur l’évolution de la sinistralité en arrêt de travail et la dérive des comptes associés » ! Et du coup La Mutuelle Générale a missionné 2 cabinets d’audits [Télécharger ici].

Les conclusions :

  • Les arrêts maladie au-delà de 45 jours ont augmenté de près de 30 % entre 2007 et 2011 (page 4),
  • Les femmes en sont les principales victimes (plus forte progression et fréquence d’arrêt plus élevée) !
  • L’audit préconise de provisionner + 3,1 millions d’euros pour se mettre à l’abri d’un déficit,
  • Mais La Poste et La Mutuelle Générale préfèrent en rester à leurs estimations pour ne pas augmenter les cotisations…

Pour FO Communication, ces audits donnent la preuve que le mal-être au travail concerne aussi les salariés de La Poste, en majorité les femmes, et que toutes les tranches d’âge sont touchées (page 6 du diaporama).

Est-ce que La Poste va tirer des conclusions autres que comptables de ce constat… ? Rien n’est moins sûr !

Amitiés syndicalistes

 

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