Dans le cadre des mesures en faveur du pouvoir d’achat, le gouvernement a mis en place une indemnité carburant de 100 eurospour les actifs qui utilisent leur véhicule personnel pour se rendre au travail. Le prolongement jusqu’à fin mars de celle-ci a été annoncé.
Bon nombre de postières et de postiers sont éligibles à ce petit coup de pouce et nombreux sont encore ceux et celles qui n’ont pas encore fait la démarche. Car bien sûr, pour obtenir cette prime, il faut se rendre sur le site dédié et entrer quelques informations.
FO Com déplore le côté déclaratif de ce genre d’aide, mais appelle chacune et chacun à effectuer la démarche.
Le 1er Conseil d’Orientation et de Gestion des Activités Sociales (COGAS) de La Poste, s’est tenu le 9 février. Sa vocation première en début d’année : adopter le budget et le plan d’actions annuel. Le budget du COGAS subit depuis le début du mandat une baisse constante et qui s’accélère. La crise sanitaire (qui a entraîné une baisse de la consommation) et la baisse des effectifs, constituent une aubaine pour les dirigeants de La Poste pour justifier la diminution du budget social.
Depuis le 2 janvier, il est possible de faire la demande de votre Chèque-culture 2023 d’une valeur de 25 eurosici.
Cette offre est réservée aux postiers actifs selon les modalités suivantes :
Être en activité au moment de la demande.
Fonctionnaire : avoir un indice brut inférieur ou égal à 557.
Salariés CDI/CDII : avoir un Salaire Brut Annuel inférieur ou égal à 27 470,58 euros (équivalent temps plein).
Les livraisons se feront selon la date de votre demande :
Du 2 janvier au 15 avril : courant juin
Du 16 avril au 15 octobre : courant décembre
Depuis plusieurs années, FO Com souhaite la dématérialisation du Chèque-culture pour que les postiers puissent l’utiliser plus facilement, même ceux éloignés des centres commerciaux.
Le décret n° 2023-33 du 26 janvier 2023 relatif au régime d’assurance chômage introduisant la contracyclicité des allocations chômage été publiée auJournal Officielhier soir.
Force ouvrière rappelle qu’elle a toujours été opposée à cette mesure qui réduit de 25% la durée d’indemnisation de tous les demandeurs d’emploi dont la fin de contrat de travail intervient à compter du 1er février 2023. Cette variation s’appuie sur le taux de chômage au sens du BIT.
Ainsi, un demandeur d’emploi de plus de 55 ans va voir baisser sa durée d’indemnisation jusqu’à 9 mois (sa durée d’indemnisation passera de 36 mois à 27 mois) et un demandeur d’emploi de moins de 53 ans verra sa durée d’indemnisation amputée jusqu’à 6 mois (avec une durée d’indemnisation de 24 mois réduite à 18 mois) !
FO s’indigne de cette énième réforme qui diminue encore un peu plus les droits des demandeurs d’emploi et qui aura des conséquences dramatiques sur l’ensemble d’entre eux, alors qu’aujourd’hui encore, aucun effort n’est demandé aux entreprises.
FO alerte en particulier sur la situation des seniors. Déjà discriminés par les employeurs en raison de leur âge ils vont basculer plus rapidement vers les minimas sociaux et dans la pauvreté, notamment dans un contexte d’inflation de plus en plus fort !
MICHEL BEAUGASSecrétaire confédéral au Secteur de l’Emploi et des retraites
Le CESU préfinancé par le Conseil d’Orientation et de Gestion des Activités Sociales de La Poste ( COGAS) vous permet de réduire significativement le prix des prestations ! C’est un titre de paiement nominatif qui permet de régler des services à la personne à domicile ou hors domicile (garde d’enfants). Les activités payables par CESU auprès des organismes agréés ou dans le cadre d’un emploi direct sont les suivantes :
Services à la famille : garde d’enfants, crèche, halte-garderie, jardin d’enfants, assistante maternelle, garderie périscolaire, soutien scolaire et cours à domicile…
Services de la vie quotidienne : entretien de la maison, travaux ménagers, petits travaux de jardinage et de bricolage, assistance informatique et Internet à domicile…
CESU « Handicap» : Assistance aux personnes âgées handicapées ou dépendantes, aide à la mobilité et transport des personnes en difficulté de déplacement…
Notez bien : Le COGAS a fait le choix de revaloriser l’aide financière depuis le 1er janvier 2022, rendant le CESU toujours plus intéressant.
Tranches QF
T1
T2
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T6
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T8
T9
T10
Participation du COGAS depuis le 01/01/2022 pour un chèque de 15 €
13€
12€
11€
10€
9€
8€
7€
6,5€
6€
5€
Pour tout savoir sur le CESU rendez-vous sur Portail Malin : Info CESU
Pour FO Com, cette revalorisation intervient dans un contexte économique de plus en plus difficile pour les postières et les postiers. C’est pourquoi FO Com revendique une augmentation constante et régulière du budget des activités sociales. Un seul mot d’ordre doit dicter nos actions futures : améliorer le quotidien de toutes et tous !
Bon à savoir concernant la période d’échange des CESU « 2022 » périmés
Pour ne pas perdre les CESU 2022 que vous n’auriez pu utiliser avant le 31 janvier 2023, vous pourrez les échanger. La période d’échange des CESU millésime 2022 arrivés à expiration sera ouverte du 1er au 28 février 2023. L’échange, moyennant des frais, se fera via le service en ligne Domi-échange de Domiserve. En quelques clics, la demande sera validée. Vous pourrez bénéficier, soit d’un envoi des CESU papier par courrier, soit d’une prolongation des CESU dématérialisée disponible sur votre compte CESU Domiserve.
Le principe d’égalité suppose la différence. C’est parce que nul n’est identique à l’autre qu’il faut œuvrer à l’égalité des droits, au respect de la dignité, et lutter contre toute forme de discrimination liée au handicap. Il faut agir pour passer de l’égalité prescrite à l’égalité réelle pour les travailleurs handicapés. C’est tout le sens de l’action de longue date menée par FO en matière d’emploi des personnes en situation de handicap.
Forte de cet engagement, le 6 janvier 2023, FO signe le 8e accord d’une durée de 3 ans. Celui-ci est paraphé à l’unanimité par les organisations syndicales représentatives.
Le combat de FO a permis de réaffirmer le maintien en emploi des postières et postiers en situation de handicap comme axe prioritaire de l’accord, avec au moins 55 % du budget prévisionnel réservé au financement de ces actions. S’y ajoute aussi le recours aux dispositifs publics de maintien dans l’emploi (essai encadré, prestations d’appui spécifiques, emploi accompagné et la convention de rééducation professionnelle en entreprise) qui permettront de mieux préparer et mieux accompagner à la reprise au travail. Pour développer les liens avec les services publics territoriaux, le réseau des référents actuels se trouve renforcé par la création d’un pôle de 5 référents handicap à temps complet.
FO obtient des mesures concrètes comme :
Un meilleur accompagnement du handicap psychique ou autistique au travail,
Une formation obligatoire des managers correspondant au handicap du nouvel arrivant,
Une sensibilisation des équipes au handicap, notamment celles ayant un collègue sourd signant.
Puis, le plan de recrutement des personnes en situation de handicap est fixé à 370 personnes au minimum dont 150 personnes en CDI avec un engagement d’intégrer des personnes ayant un handicap psychique ou autistique.
Par ailleurs, La Poste renforce son engagement sociétal en poursuivant son recours, à hauteur de 52 millions d’euros, auprès du secteur adapté et protégé pendant la période triennale.
Quant au financement des dispositions de l’accord, un budget de 11 millions d’euros est prévu. Ce dernier reste néanmoins conclu sous la condition suspensive de l’obtention de l’agrément par la DRIEETS Île-de-France (Direction Régionale Interdépartementale, de l’Économie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités).
Enfin, lorsque FO s’engage et signe un accord, FO se mobilise pour s’assurer de sa déclinaison opérationnelle dans tous les métiers et territoires en exerçant une présence militante et exigeante dans tous les CHSCT, comme dans toutes les CNSST et les commissions de suivi nationales.
Pour FO, l’insertion et le maintien en emploi des personnes en situation de handicap est et doit être une priorité pour tous.
L’inflation attaque de toute part : à la pompe, au supermarché mais elle touche également le logement. La principale cause des fins de mois difficiles reste de loin cette part consacrée aux loyers à régler, aux prêts immobiliers à rembourser, aux assurances à payer et aux factures de chauffage à honorer.
Le poids du logement représente 22,2 % du budget des ménages (contre en moyenne 18,6 % dans les pays de l’OCDE) et cette charge s’alourdit davantage selon les niveaux de vie. Les dépenses de logement pèsent ainsi près du quart du budget des ménages de nos jours, alors qu’elles n’étaient que de 9 % dans les années 1960.
En matière de lutte pour le pouvoir d’achat, le logement est donc un levier des plus décisifs.
Trouver un logement : les complications risquent une brusque accélération
Ce bilan devrait s’aggraver à l’horizon 2035, avec l’entrée en vigueur progressive de la loi Climat et Résilience adoptée à l’été 2022 et la prise en compte du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) des logements pour être sur le marché locatif. Bon nombre de logements ne seront plus proposés, puisque pour certains le coût des travaux est conséquent.
L’Observatoire National de la Rénovation Énergétique (ONRE) avec l’ADEME chiffrent à 7,2 millions de logements considérés comme concernés au 1er janvier 2022 (39,3 % du parc des logements en location). En Île-de-France, le résultat grimpe à 55 % du parc locatif privé (745 000 logements). Le logement social, géré de manière plus centralisée, détient moins en proportion avec 29 % d’étiquettes E, F ou G.
Même si le parc social reste le meilleur élève concernant l’état des logements d’un point de vue énergétique, côté parc privé, les difficultés pour trouver un logement vont s’intensifier puisqu’on constate que les bailleurs exigent de plus en plus de garanties et de sécurité concernant l’emploi et les revenus pour choisir leur locataire. Le secteur locatif privé est majoritaire en France : un logement sur cinq relève du secteur locatif privé. Au 1er janvier 2020, la France hors Mayotte compte 37 millions de logements.
Encore une affaire sur fond de gros sous et de réformes successives
Le décrochage entre revenus et prix du bail privé va se poursuivre. Une situation qui se traduit par une ponction intolérable sur le pouvoir d’achat des particuliers, surtout en zones tendues, là où il y a pénurie de logements sociaux. Cette ponction est un grave facteur de déséquilibre et de discrimination économique. En France, les timides mesures prises par l’État en direction du locatif privé (mise en place a minima d’un encadrement des loyers ou d’une baisse volontaire des loyers au moment de la création de la réduction du loyer de solidarité en 2018) restent bien en deçà d’une action significative.
Le logement social est mis à mal par les réformes successives. Les bouleversements débutent avec la loi ELAN puis la loi de finances 2018 et impactent le modèle économique ainsi que le système de financement du logement social en imposant une sévère réduction des ressources des OLS (Organismes de Logement Social). Ils prévoient également des mutations dans l’organisation des bailleurs en les contraignant à se regrouper. Ces réformes s’accompagnent d’un désengagement financier de l’État sur les aides à la pierre, d’importantes ponctions de l’État sur les ressources d’Action Logement et d’une remise en cause de sa gouvernance, voire de son existence.
En 2020, 3,4 millions de demandes de logement social ont été déposées ou restaient actives avec seulement 11 % des demandes satisfaites (en baisse de 2 points par rapport à 2019).
Les entreprises prennent-elles toute leur part ?
Certaines entreprises sont dotées de politique Logement, telles La Poste (mise en place de Poste-Habitat, filiale de Toit et Joie en 2007, aujourd’hui dénommé Groupe Poste-Habitat) et Orange (Orange cotise à Action Logement à hauteur de 19 millions d’€/par an + aide au logement pour ses salariés), mais beaucoup de salariés ne sont pas accompagnés, aidés dans la « simple » procédure de demande de logement social.
Des aides financières peuvent même être accordées pour les nouveaux embauchés, histoire d’attirer pour le recrutement (ndlr : et après, on laisse les carrières stagner et on verrouille les rémunérations… La belle pente !). Mais outre le fait que ces dispositifs répondent à de forts besoins, et qu’il est important de saluer la mise en place d’une telle politique en entreprise, c’est à se demander si ce n’est pas pour se donner bonne conscience.
En prenant l’exemple du Groupe La Poste, nous pouvons faire la corrélation avec les bas salaires. La contribution via la PEEC (Participation des Employeurs à l’Effort de Construction) a au minimum une quote-part de 0,45 %. Le calcul s’effectue sur le montant total des rémunérations imposables et des avantages en nature versés au personnel au cours de l’année N-1 (base de calcul des cotisations de sécurité sociale). Les rémunérations imposables sont par exemple les salaires, les cotisations salariales, primes, gratifications, indemnités. La masse salariale étant faible à La Poste, l’effort de construction est bien moindre pour une entreprise qui fait partie des grandes entreprises françaises avec 23,478 Mds d’euros de chiffre d’affaires…
À FO, nous considérons que la défaillance du marché privé détermine la notion de besoin dont la prise en compte s’impose à l’action publique. L’État doit donc se donner les moyens de les connaître (et reconnaître) afin de répondre à toute demande dans sa diversité, et pour intervenir avec pertinence sur la production de logements décents.
Toutes ces coupes politiques et budgétaires côté social ou ces choix stratégiques pour répondre aux impératifs environnementaux et sociétaux côté privé, c’est autant d’offres qui ne pourront répondre à une demande.
Cette situation poussera les victimes de la précarisation du travail dans la rue et creusera encore davantage les difficultés pour le secteur sans-abri, puisque-là aussi, il y a des lits supprimés et des moments délicats se profilent. Cela nous rappelle vaguement les hôpitaux… Serait-ce le même type de politique appliqué et recyclé ?
Rappelons qu’en 2019, la France a été condamnée par l’ONU pour « violation du droit au logement », dans un contexte où le nombre de personnes sans domicile ne cesse d’augmenter.
La crise du logement omniprésente en 2022, et les changements climatiques fréquents n’écartent pas l’hypothèse d’un hiver rigoureux. Conjointement à un pouvoir d’achat en baisse pour les ménages, combien de gens ne pourront pas y faire face et subiront les conséquences de toutes ces insuffisances (logement, énergie, pouvoir d’achat) ? Il est temps que les grandes entreprises et les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités.
Les Données chiffrées
Au 1er janvier 2021, 15,6 % des résidences principales en France sont des logements locatifs sociaux, soit 5,2 millions. Au cours de l’année 2020, 66 600 logements ont été mis en location pour la première fois dans le parc social. Dans le même temps, on compte 7 800 logements démolis et 11 700 logements vendus. Ainsi le parc locatif social croît de 1,1 % entre le 1er janvier 2020 et le 1er janvier 2021. Le loyer moyen au 1er janvier 2021 a augmenté de 1,4 % par rapport à l’année précédente. C’est particulièrement marqué en Île-de-France (+ 2,5 %).
Une autre réalité : Le nombre de personnes mal-logées ne diminue pas !
4,1 millions de personnes sont considérées mal-logées. Parmi elles :
1 068 000 personnes ne disposent pas d’un vrai logement personnel, elles sont sans domicile fixe (SDF), vivent dans des habitations de fortune, sont hébergées chez des tiers ou sont en chambres d’hôtel.
Plus de 2 millions habitent des logements sans confort (pas d’eau courante, toilettes communes sur le palier, moyen de chauffage très dégradé…).
Le doublement depuis 2012, du nombre de personnes sans domicile qui sont aujourd’hui 300 000.
L’engorgement des hébergements d’urgence (début décembre 2021, près de 4 000 personnes ont appelé en vain le 115 faute de places d’hébergement d’urgence disponibles).
L’augmentation du nombre des expulsions (12 000 en 2021 contre 8 200 en 2020).
Outre la pénurie d’hébergements d’urgence, la France manque de logements sociaux. La demande de logement social a progressé deux fois plus vite que le nombre de logements sociaux. Dans le même temps, les aides au logement ont diminué depuis dix ans. Les aides publiques au logement représentent 1,6 % du produit intérieur brut (PIB) en 2020. L’aide personnalisée au logement (APL) a été réduite de 5 euros par mois et par ménage en 2017.
L’encadrement des loyers introduit par la loi Alur en 2014 et la loi Élan en 2018 commence à produire des effets bénéfiques en limitant la hausse des loyers. Mais, la mauvaise régulation du marché de l’immobilier entraîne des hausses de prix dans l’immobilier. Le rapport de la commission présidée par François Rebsamen, publié à l’automne 2021, s’alarme de la chute de la construction. La France est ainsi passée, en début de quinquennat, de 437 000 mises en chantier en 2017 avant de chuter à 350 000 en 2020.
Depuis le 1er octobre 2022, le plafond de dépense quotidienne avec le Titre Restaurant est de 25 euros.
Par ailleurs, grâce à l’intervention du COGAS, à compter du 1er janvier 2023, les indices bruts et salaires bruts annuels servant de référence pour l’attribution de l’aide financière de La Poste sont revalorisée :
Depuis le 1erjanvier, est née la prestation de « Soutien aux Apprentissages »
Dans la continuité de l’expérimentation réalisée en 2021 et 2022 durant la crise sanitaire, le Conseil d’Orientation et de Gestion des Activités Sociales ( COGAS) aide les postiers pour le soutien scolaire en présentiel pour leurs enfants.
Comment ça fonctionne ?
Prise en charge de 40% de la facture
Avec un plafond annuel de 400€ par postier, 600€ si le parent détient un certificat d’aidant au titre d’un de ses enfants,
Il faut fournir une ou plusieurs factures (de l’année civile en cours),
Concerne tout type de soutien scolaire (particulier, en groupe…), faisant l’objet d’une facturation,
Le soutien scolaire s’entend de façon large. Il concerne les cours mais aussi les dispositifs / consultations paramédical non remboursés et qui sont nécessaires à l’apprentissage (coaching, psychothérapie, appareillages…),
L’aide est cumulable avec les avantages consentis par les prestataires. Le postier peut recourir à l’organisme de son choix, il n’est pas requis de passer par un prestataire précis.
Grâce à l’action de FO, cette nouvelle prestation, « Soutien aux Apprentissages » est possible pour tous les enfants à charge, au-delà de la classe de Terminale.
Le COGAS a décidé de pérenniser la prise en charge du soutien scolaire en présentiel.
Expérimentée durant les crises sanitaires en 2020 et 2021, cette aide permet aux postiers actifs de mettre en place des cours particuliers pour leurs enfants. Le COGAS prend en charge 40 % du montant de la facture avec un plafond annuel de 400 € par postier. Ce montant maximum est de 600 € si le parent détient un certificat d’aidant au titre d’un de ses enfants.