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FOcom Poste 06

informations generales

INFO: Les troubles mentaux augmentent chez les salariés...

20 Décembre 2011, 10:44am

Publié par FOcom Poste 06

Sur fond de crise économique, de mondialisation et de nouvelles organisations du travail, la santé mentale des travailleurs se dégrade. Tel est le constat de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pointé dans une étude publiée le mercredi 14 décembre, "Mal êtreau travail ? Mythes et réalités sur la santé mentale au travail ". (…)

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Services publics : Bruxelles revoit les règles pour les aides d'Etat

20 Décembre 2011, 09:07am

Publié par FOcom Poste 06

La Commission européenne dévoile aujourd'hui les nouvelles règles régissant les aides publiques versées pour les services d'intérêt économique général (Poste, transport, services culture, services sociaux). Certains pays, France en tête, sont mécontents.

Le sujet est politiquement sensible, notamment en France. La Commission européenne doit donner aujourd'hui les nouvelles règles du jeu qui s'appliqueront en matière d'aides d'Etat pour certains services publics. Sont visés les services d'intérêt économique général. Derrière cet acronyme SIEG, on trouve une large palette d'activités, qui ont en commun d'évoluer dans un champ concurrentiel : cela va des grands services commerciaux des entreprises en réseau (missions de service public de La Poste, fourniture d'énergie, transport), aux services sociaux (logement, établissement pour personnes âgées) en passant par les services culturels (théâtres, festivals, etc.). « En échange des obligations de service public qu'elles remplissent, il est autorisé pour les entités qui œuvrent sur ces marchés de recevoir un financement public proportionné, qui ne soit pas considéré comme une aide d'Etat illégale par la Commission », explique une source européenne. Bruxelles accepte donc les aides publiques pour ces SIEG tant qu'elles remplissent certaines conditions (mandat clairement défini, montant pas excessif, etc.)

Joaquin Almunia, le commissaire à la Concurrence, veut toiletter et simplifier ces règles instituées en 2005. Le but : « éviter de devoir examiner des SIEG qui ont une portée locale et impliquent souvent des compensations de faible montant, et de se concentrer au contraire sur les services économiques ayant un impact transnational notable », selon une source communautaire.

Une « obligation d'efficience »

Dans cette optique, Bruxelles ne considérera pas comme une aide d'Etat toute somme inférieure à 500.000 euros versée sur une période de trois ans. Par ailleurs, l'exécutif européen a également décidé que les entités assurant des besoins sociaux essentiels (aides à la petite enfance, maisons de retraite) n'auront pas besoin de notifier des aides à la Commission, à la manière de ce qui se fait déjà pour les hôpitaux ou le logement social.

Si ces nouveautés sont bien accueillies par les Etats membres, d'autres changements font grincer des dents. A la mi-novembre, sept pays (dont la France et l'Allemagne) ont écrit à la Commission pour se plaindre du reste du texte. « Les objectifs de simplification et de clarification sont loin d'être atteints », est-il ainsi écrit dans ce document dont « Les Echos » ont obtenu copie. Plusieurs points suscitent l'inquiétude de ces pays. Il y a notamment le fait que la Commission veuille réduire de 30 à 15 millions d'euros le seuil en dessous duquel il n'est pas nécessaire de notifier l'aide publique à la Commission. « Cela va considérablement compliquer la vie des théâtres ou de certains festivals, qui reçoivent ce genre de montants », assure un diplomate français.

Les pays récalcitrants s'inquiètent également que la Commission veuille à l'avenir définir ce qui peut relever, ou pas, d'un SIEG. Jusqu'à présent, c'étaient aux Etats de faire ces choix. « A l'avenir, Bruxelles aurait alors le droit de dire si la distribution du courrier six jours sur sept relève ou non de l'intérêt général, pouvant réclamer qu'on ramène cela à cinq jours sur sept », accuse le même diplomate français. Enfin les critiques portent sur le fait que Bruxelles impose désormais une « obligation d'efficience » . En clair, il faudra faire la preuve que l'argent public est bien utilisé pour que l'aide soit autorisée. « Ca ne relève pas des compétences de la Commission », estiment les sept Etats membres mécontents.

RENAUD HONORE

Source : Les Echos - BUREAU DE BRUXELLES

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Négociation salariale: Il faut une vraie revalorisation!

19 Décembre 2011, 09:41am

Publié par FOcom Poste 06

Pour agrandir ou imprimer le tract, cliquez sur l'image

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La bibliothèque des sigles utilisés par La Poste

17 Décembre 2011, 09:43am

Publié par FOcom Poste 06

Avec un peu d'humour... pour ceux qui aiment les abréviations ou pour la grande majorité, c'est-à-dire, pour ceux qui sont perdus devant ces sigles, voici un petit repère émanant du service national des archives de La Poste explicitant le charabia postal, cliquez sur le lien et bon courage : (link)

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INFO : La Poste et ERDF s'associent dans le VE

16 Décembre 2011, 11:27am

Publié par FOcom Poste 06

Les deux groupes se sont associés via un consortium afin de concevoir un dispositif de recharge dédié à leurs propres flottes de véhicules électriques (VE). La Poste s'est engagée à acquérir 10 000 VE d'ici à 2015 et 1 500 à 2 500 VE doivent intégrer la flotte d'ERDF à compter du printemps 2012.

Les systèmes de recharge sont essentiels au développement du marché des VE. La Poste et ERDF viennent de nouveau de le rappeler à l'occasion de la mise en place d'un consortium initié par Jean-Paul Bailly, le PDG du groupe La Poste et Michèle Bellon, la présidente du directoire d'ERDF*. Ce consortium doit aboutir à la création d'un système de pilotage des infrastructures de recharge dédiées à leurs propres flottes de VE (La Poste s'est engagée à acquérir 10 000 VE, en l'occurrence des Kangoo ZE, d'ici à 2015 et ERDF doit exploiter de 1 500 à 2 500 VE à compter du printemps 2012). Il s'agit de faire en sorte que les salariés des deux groupes puissent effectuer leurs missions avec leurs véhicules électriques tout en tenant l'objectif de coût d'utilisation global voulu et en évitant les pics de consommation électrique. Tous ces événements sont susceptibles d'entraîner des renforcements du réseau et une hausse des émissions de CO2.

Financement à la charge de la Poste et d'ERDF

Pour parvenir à son double objectif, le consortium s'appuiera sur des expérimentations menées sur plusieurs sites de La Poste et d'ERDF implantés à Paris, Nantes, Grenoble et Nice. Il pourra, en outre, compter sur l'expertise de tous ses membres. En font partie à la fois des laboratoires de recherche tels le CMA de ParisTech, le Loria des Mines de Nancy et le I3M de l'université de Nice Sophia Antipolis, des entités spécialisées comme Docapost BPO et Greenovia, et enfin des jeunes sociétés innovantes comme G²mobility. Cette dernière réalisera un prototype du système de pilotage, la conception du pilotage en puissance de recharge devant se faire avec les laboratoires d'EDF R&D. A noter que le financement de ce projet est actuellement à la charge de La Poste et d'ERDF. Les deux entreprises n'ont pas encore de reçu de réponse au dépôt de leur dossier à un Appel à Manifestation d'Intérêt de l'Ademe sur le développement des infrastructures de recharge.

*La Poste a piloté l'appel d'offres déposé par l'Ugap à la mi-2010 et ERDF était membre du groupement de commandes qui avait été constitué au préalable.

Source : http://www.journalauto.com/lja/article.view/12741/la-poste-et-erdf-s-associent-dans-le-ve/6/services

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Une page noire du syndicalisme français : le 9 avril 2008

12 Décembre 2011, 10:44am

Publié par FOcom Poste 06

La position dite commune :

c’était le 9 avril 2008 !

Ce jour là, CGT, CFDT et patronat signaient, non pas un accord qui, de fait, aurait été minoritaire, mais une position … commune … aux seuls protagonistes !

Objectif à peine caché à l’époque, et plus du tout aujourd’hui : se partager l’échiquier syndical entre la CGT et la CFDT ; en échange de quoi, les syndicats signataires acceptaient le principe de renvoyer la négociation au niveau des entreprises afin d’aboutir à des accords dérogatoires à la loi et aux conventions collectives nationales. Une page noire du syndicalisme français était en train de s’écrire ; et voici pourquoi :

Le principe de faveur : liquidé !

Ce principe, dit de faveur (ou hiérarchie des normes), protégeait et améliorait les droits, du niveau national au niveau de l’entreprise, visait à assurer un socle d’égalité des droits des salariés (grandes ou petites entreprises) ainsi que le progrès social par la négociation collective. Avec la position commune, un accord d’entreprise peut être en dessous d’un accord national ou de la loi. C’est la fameuse dérogation !

Du concret dans l’article 17 du texte : CGT et CFDT ont concédé le droit de déroger à l’accord de Branche pour dépasser le contingent d’heures supplémentaires, se pliant ainsi à l’injonction des patrons et du gouvernement. Ce dernier, d’ailleurs, voyant la porte entrouverte, s’était engouffré dedans en élargissant la dérogation à la loi sur les 35H. Mme Parisot, patronne du MEDEF, déclarant alors : « Ce que nous avons fait avec les organisations CGT et la CFDT est extraordinaire. Elles ont accepté de considérer qu’enfin, la durée du travail n’était plus un tabou ».

La représentativité syndicale : un véritable Yalta !

Si FO était d’accord pour actualiser et réviser de manière régulière la représentativité des syndicats pour tenir compte de l’évolution de leur influence, ce n’était pas pour échanger de nouvelles règles du jeu contre un recul des droits des salariés, des droits syndicaux et de la démocratie.

En changeant les règles du jeu, CGT et CFDT espéraient bien réduire la pluralité syndicale à sa plus simple expression, et ainsi étouffer à terme tous les autres syndicats, notamment les plus petits. Pourtant, la pluralité, n’est-ce pas la liberté pour les salariés de choisir leur syndicat ?

Nous avons assisté là à un véritable Yalta avec la bénédiction du patronat !

Mais, direz-vous, nouvelles règles de représentativité pour les syndicats = nouvelles règles de représentativité pour la patronat ?

Que nenni ! Le patronat qui est éclaté en plusieurs syndicats patronaux ne s’est vu octroyer, lui, aucune règle. Ce qui est bon pour les syndicats ne l’est pas pour le patronat !

Atteinte au droit syndical !

Un grand acquis de 1968 est passé en même temps à la trappe : celui pour n’importe quelle organisation syndicale dite représentative de pouvoir désigner un Délégué Syndical (celui qui négocie avec le patron) dans une entreprise. On savait que ce n’était déjà pas facile de trouver un militant qui aille au charbon ; voilà que maintenant, la position dite commune, traduite depuis dans la loi du 20 août 2008, l’interdit, tout simplement, si le DS n’obtient pas les fameux 10% ! Cà va devenir difficile de s’implanter syndicalement dans une entreprise : encore un joli cadeau au patronat !

Les frères siamois ne se séparent jamais …

… même quand ils sont en désaccord !

On notera que CGT et CFDT sont loin d’être d’accord sur le fond des dossiers. Pourtant, on les voit régulièrement ensemble en tête de cortèges ou sur les plateaux de télévisions, comme au moment de la dernière contre réforme des retraites. Cette unité de façade est une posture qui cache des désaccords de fond au nom de la position dite … commune !

Ainsi, la CFDT est pour une réforme systémique des régimes de retraite, autrement dit  pour la mise en place d’un régime par points ou par comptes optionnels, régime qui met le doigt dans l’engrenage de l’individualisation, tourne le dos à la solidarité intergénérationnelle, et ne peut qu’aboutir à une nouvelle baisse des retraites, la valeur du point pouvant varier au gré du vent !

La CGT semble avoir une position plus proche de FO : pas de remise en cause du régime par répartition, régime qui a fait ses preuves en terme de solidarité. On notera même certaines similitudes dans les propositions de financement, propositions que FO a faites en son temps lors de l’ouverture du débat sur la réforme des retraites.

Conséquence de cette posture de façade : alors que FO proposait que l’ensemble des organisations syndicales lance un mot d’ordre de grève franc et solennel, CGT et CFDT sont restés collés et ont promené les salariés de manif en manif jusqu’à …

Le président Sarkozy et la patronne du MEDEF, Madame Parisot, auront réussi au moins une réforme : celle sur la représentativité syndicale … en affaiblissant le mouvement syndical. Ce qui est consternant, c’est que la CGT et la CFDT se soient vendues en vue d’étendre « leurs parts de marché » !

Le 9 avril 2008, il s’est agi avant tout d’arrangements entre appareils visant à renouveler le paysage syndical.

Quelles que seront les suites, Force Ouvrière continuera de tenir sa place.

FO est née de la volonté de défendre les libertés individuelles et collectives, et l’indépendance syndicale pour la solidarité et le progrès social.

Personne ne nous fera taire !

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INFO: La poste invente une nouvelle "préretraite"

7 Décembre 2011, 09:42am

Publié par FOcom Poste 06

À La Poste, les salariés de droit privé et les fonctionnaires qui se trouvent à 36 mois d'un départ à la retraite peuvent quitter l'entreprise avec une indemnité d'un an de salaire ou de 20 000 euros (l'option la plus favorable s'applique).

La direction affirme que le dispositif n’est en aucun cas un dispositif de préretraite car celui-ci est accessible à n’importe quel âge, à la seule condition d’avoir 10 ans d’ancienneté.

Même pas besoin d'argumenter sur un projet professionnel ou personnel précis puisque c'est un congé pour « convenances personnelles » d'une durée de 3 ans qui s'applique et qui suspend le contrat de travail.

Au terme des 3 ans, alors qu'ils auront droit à la retraite, les bénéficiaires de cette préretraite baptisée APP (appui au projet personnel) peuvent même reprendre le travail mais la direction fait le pari qu'ils seront peu nombreux. La Poste n'a en revanche aucune obligation de reprendre un bénéficiaire qui souhaiterait revenir avant le délai de 36 mois. En cas d'acceptation, le remboursement d'une partie de l'indemnité sera demandé.

Les personnes intéressées ont jusqu'à la fin de l'année pour profiter d'un dispositif qui rencontre un certain succès et qui ne semble pas gêner outre mesure les syndicats. Dans la branche du courrier, ce sont exclusivement les cadres qui sont éligibles à l'APP tandis que tout le personnel des services financiers peut demander à en profiter.

Source: http://www.miroirsocial.com/actualite/la-poste-invente-une-nouvelle-preretraite

Publié le 28 septembre 2011

Nb: Les seniors "démotivés" sont les cibles essentielles (mais pas uniques!) de ce genre d'arnaque au départ; en effet, beaucoup des victimes de la sélection frénétique à la mode se retrouvent sur le carreau et par conséquent frustrés, donc prêts au départ... Situations qui facilitent la création de ce genre de dispositifs de départs anticipés, réservés aux seniors, mais que les entreprises comme La Poste se refusent à qualifier de préretraite...

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Rapport annuel des médecins du travail de la poste, quelques extraits, c'est éloquent..

6 Décembre 2011, 19:28pm

Publié par FOcom Poste 06

Les principales sources de préoccupations concernent :

- Les difficultés rencontrées dans la mise en oeuvre des reclassements des agents présentant des incapacités physiques ou psychiques, dans un contexte de resserrement des organisations, de séparation des activités Courrier, Enseigne, Colis et Services Financiers (qui rend les reclassements inter-métiers plus difficiles malgré l’engagement au plus haut niveau),
de postes à moindres contraintes plus rares,

- Le maintien dans l'emploi d’une population au travail de plus en plus sollicitée sur le plan physique, mais aussi cognitif et psychique et qui avec le recul de l'âge du départ en retraite, fatalement pourvoyeur de nouvelles incapacités physiques, se retrouve dans des organisations de travail de plus en plus tendues, principalement pour le Courrier, mais aussi
pour l'Enseigne.

- Les capacités de récupération physique des facteurs en raison d’une pénibilité accrue du travail de préparation en lien avec les contraintes de tri au CHM, une reprise de productivité, une augmentation de la part consacrée aux travaux extérieurs, un espacement des jours de repos et l’utilisation importante de la sécabilité. Une fatigue chronique s’installe chez un nombre  croissant d’agents en particulier dans la population des plus agés et des femmes.

- L’intensification du travail et le resserrement continu des organisations, qui réduisent les marges de manoeuvres individuelles et collectives et les stratégies d’adaptation, et l’évolution organisationnelle qui modifie les collectifs de travail et les repères professionnels des agents, dans tous les métiers et engendre une présence plus prégnante de troubles psychiques,
des manifestations d’origine psychosomatique.

- L'augmentation du nombre de TMS, tous les métiers sont concernés et particulièrement le Courrier et le Colis.

Pour lire le document, cliquez sur le lien: (link)

Nb: Ce document a été publié le 27 octobre 2011

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Les Chiffres utiles...

6 Décembre 2011, 18:30pm

Publié par FOcom Poste 06

Les chiffres font partie de la vie quotidienne et nous sommes aujourd'hui noyés sous une quantité impressionnante de données et de statistiques. Difficile de se retrouver dans ce dédale. C'est pourquoi Force Ouvrière vous informe régulièrement de l'évolution de certains de ces repères précis.

Pour les données, cliquez sur le lien: (link)

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INFO: Et çà continue, encore une tentative de suicide...

3 Décembre 2011, 10:53am

Publié par FOcom Poste 06

Le week-end dernier, une employée de la Poste de 41 ans a tenté de mettre fin à ses jours sur son lieu de travail, dans un bureau dolois, en ingurgitant deux boîtes de tranquillisants.

D’après la postière, c’est une remontrance d’une de ses supérieures qui a provoqué son geste. Sa hiérarchie lui aurait sévèrement reproché un retard de deux minutes à peine.

Un CHSCT, un comité d’hygiène et de sécurité a eu lieu ce lundi à Besançon. Les délégués syndicaux ont interpelé la direction régionale sur ce cas, tout en parlant aussi de malaise plus global dans l’entreprise.

Source: Fr3

Ps: une nouvelle fois, une remontrance futile ne démontrant que l'habituel manque flagrant de considération a été l'élément déclencheur du passage à l'acte ...

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